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Alors même que ce marché a pris du plomb dans l’aile notamment avec la faillite de Genesis, la plateforme d’échange luxembourgeoise vient de lancer un service de prêt en cryptomonnaies à destination de ses clients.
L'entreprise cotée au Nasdaq a annoncé avoir acquis 1.045 bitcoins supplémentaires et détient désormais 0,667% des bitcoins en circulation. Le cours de son action est plus que jamais corrélé à celui de la cryptomonnaie.
La plateforme qui revendique 120 millions d’utilisateurs à travers le monde a vu s'éroder sa part de marché en termes de volumes d’échange. Ses réserves de cryptoactifs restent relativement stables.
L'ACPR souhaite échanger avec l’écosystème hexagonal afin de faire émerger des propositions qui devront servir à l’élaboration d’un cadre réglementaire pour la finance crypto.
Ce complément de Série C doit notamment permettre à la fintech de simplifier l’expérience utilisateur pour renforcer sa position de leader de la sécurisation de cryptoactifs auprès du grand public.
Dans sa plainte civile, la Commodity Futures Trading Commission a notamment accusé Changpeng Zhao de potentielles manipulations de marché en négociant sur la plateforme sans en avertir ses clients.
Dans une plainte civile, la Commodity Futures Trading Commission accuse la plateforme d’avoir orchestré un système lui permettant d’éviter d’enregistrer ses activités liées aux produits dérivés.
L'éditeur américain de logiciels est plus que jamais le groupe possédant le plus d'unités de la cryptomonnaie. Il a également remboursé son prêt à Silvergate en bénéficiant d'une décote de 22%.
Officiellement recherché depuis septembre, Do Kwon a été appréhendé au Monténégro, selon les autorités locales. Il dirigeait le stablecoin de Terra-Luna au moment de sa chute.
La plateforme considérée comme la plus régulée du marché pourrait prochainement faire l’objet d’une action en justice de la part de la SEC. Coinbase y voit une manœuvre pour atteindre la cryptosphère aux Etats-Unis.
Ce cadre réglementaire transitoire doit permettre de tester l’utilisation des technologies de registre distribué et de faire émerger des standards de tokenisation d’actifs classiques.
En s’affirmant émetteur et gérant de monnaie électronique, mais aussi candidat à l’obtention de l’enregistrement PSAN en France, le géant crypto assume sa volonté de proposer des services bancaires pour l’ensemble du marché européen.
L’américain Circle a annoncé avoir déposé un dossier pour obtenir l’enregistrement comme prestataire de service sur actifs numériques (PSAN) ainsi qu’une demande d’agrément pour émettre de la monnaie électronique.
Ce projet français entend devenir la référence pour permettre aux entreprises de développer et gérer leur émission de crédits carbones via la blockchain.
Ce projet français lancé en 2021 subit les conséquences d'une attaque informatique dont a été victime une de ses principales contreparties. Son ancrage à l'euro a chuté de 40%.
Quasiment un tiers des réserves en cash de son stablecoin se trouvaient chez la Silicon Valley Bank. L'USDC a été la cible des spéculateurs ce week-end et a perdu son ancrage au dollar.
Ce cadre inédit défini par l’Etat américain promet de quasiment traiter au cas par cas ces entités de gouvernance de la finance décentralisée. L'initiative ouvre une nouvelle perspective pour leur réglementation.
Le gestionnaire d'actifs Grayscale, qui appartient à Digital Currency Group, est accusé d'appliquer des frais de gestion «exorbitants» et de manquer aux règles de concurrence.
Trois des principaux stablecoins du marché font face depuis le début de l’année aux sanctions des régulateurs mais aussi à la mauvaise santé économique de certains dépositaires, telle la banque Silvergate.