Toute l’actualité du secteur du luxe, poids lourd de la Bourse parisienne et européenne, et de ses acteurs français (LVMH, Hermès, Kering, L’Oréal, Chanel) ou étrangers (Estée Lauder, Richemont, Swatch). Nos analyses de l’industrie et de ses évolutions (modes de consommation, zones géographiques).
Les investisseurs misent sur des évolutions au sein de la marque phare du groupe de luxe alors que Luca de Meo prend les rênes de l'entreprise ce lundi.
Dans son testament, Giorgio Armani demande que sa marque soit progressivement vendue à un autre acteur du secteur en citant nommément LVMH, EssilorLuxottica et L'Oréal.
Le groupe réduit ses prévisions et vise désormais un chiffre d'affaires autour de 900 millions d'euros en 2025 en raison de l'instabilité géopolitique et de la hausse de l'euro.
La disparition du fondateur du groupe de luxe, farouche défenseur de son indépendance, ouvre une période d'incertitudes en termes de gouvernance. Bien que moins rentable que ses homologues de taille équivalente, Armani a déployé ses dernières années une stratégie de partenariats multiples qui pourrait accroître sa valeur.
Dans le cadre d'un recentrage sur les cosmétiques à base de plantes, le groupe Rocher va céder la célèbre marque auboise de confection à Regent, qui détient notamment les marques Dim, Wonderbra ou Bally.
L’effet des droits de douane, les changements de modes de consommation et un effet devises négatif imposent au groupe dirigé par Alexandre Ricard de réviser ses projets d’investissements. Sans sacrifier sa politique de distribution.
L'ancien directeur général de Renault doit prendre les rênes du groupe de luxe en septembre prochain. Il bénéficiera d'une "indemnité de prise de fonctions" visant à compenser la perte des rémunérations différées chez son précédent employeur.
Le géant de l'ultra luxe a enregistré une augmentation de son résultat opérationnel de 6% au premier semestre et son bénéfice net aurait progressé d'autant sans la contribution exceptionnelle versée à l'Etat français.
Les ventes de la marque phare du groupe ont encore plongé de 25% au deuxième trimestre. L'arrivée de Luca de Meo en septembre pour relancer la machine n'en est que plus attendue.
Le bénéfice net semestriel part du groupe, à 5,69 milliards d'euros, ressort en baisse de 22% par rapport à la même période de 2024. Le groupe note une amélioration des tendances en Asie hors Japon.
Pékin va appliquer au secteur jusqu'à 34,9% de droits de douane, avec de nombreuses exemptions. La guerre commerciale avec les Etats-Unis mais aussi la baisse de la consommation d'alcool menacent également les ventes de spiritueux.
L’architecture de l’accord prévoit des exonérations pour les exportateurs qui s’engagent sur des prix minimums. Rémy Cointreau, Pernod Ricard et LVMH sont concernés.
La panne de croissance de Kering, LVMH et consorts risque de se confirmer au deuxième trimestre. Certains n’anticipent pas de redécollage avant la fin de l’année prochaine.
L'arrivée annoncée du patron de Renault aux manettes du groupe de luxe a fait l'effet d'un électrochoc boursier. Ses défis seront nombreux à la tête d'un Kering affaibli par les difficultés persistantes de Gucci.
Le directeur général de Renault, qui quittera le constructeur automobile en juillet, est pressenti pour prendre la tête du groupe de luxe en difficulté.
L'opération, réalisée auprès du fonds d'investissement Inflexion, permettrait au groupe français de se renforcer dans les soins de la peau. Elle pourrait être officialisée dans les prochains jours.