Toute l’actualité du secteur du luxe, poids lourd de la Bourse parisienne et européenne, et de ses acteurs français (LVMH, Hermès, Kering, L’Oréal, Chanel) ou étrangers (Estée Lauder, Richemont, Swatch). Nos analyses de l’industrie et de ses évolutions (modes de consommation, zones géographiques).
Le groupe de luxe a évalué sa contribution à la surtaxe d’impôts sur les sociétés. Son action baisse en Bourse après des chiffres d’activité décevants publiés le le 15 octobre
Le chiffre d'affaires du géant du luxe ressort à 19,1 milliards d'euros sur la période juillet-septembre, soit un recul de 4,4% sur un an. Le coup de frein est particulièrement sensible au Japon.
Kering a choisi Stefano Cantino, un ancien de LVMH, pour prendre les commandes de sa principale filiale, toujours en quête d’une relance efficace de son profil de croissance. Une nouvelle bien accueillie, tant la marque Gucci est essentielle au redressement boursier du groupe français.
Pékin a répondu à l'annonce de la hausse des taxes sur les voitures électriques de Bruxelles en menaçant de pénaliser le cognac. Le secteur des spiritueux entraîne dans sa chute les valeurs du luxe sino-dépendantes.
LVMH continue à grignoter le marché du luxe. Le numéro un mondial a pris une petite participation dans le fabricant de doudounes Moncler, alimentant les spéculations sur un nouveau round de consolidation dans le secteur. Tour d’horizon des pépites qui continuent de faire rêver les acteurs du luxe.
Le groupe de Bernard Arnault monte au capital de la holding de Remo Ruffini qui détient 15,8% du spécialiste des doudounes haut de gamme et compte grimper jusqu'à 18,5%. L'action Moncler en profite.
L'ensemble du compartiment pâtit des doutes sur la consommation et la Chine. Kering, LVMH et Hermès ont lâché de 9% à 12% au cours de la semaine écoulée.
Le marché n’apprécie pas la chute de 27% du bénéfice net. Le cours cède 11% à mi-séance. Les ventes progressent de 10%. L’Asie-Pacifique et le maquillage pèsent sur les performances.
Le groupe spécialisé dans les produits de très haute qualité a enregistré une solide croissance organique de ses revenus au deuxième trimestre quand tous ses concurrents étaient, au mieux, à l’arrêt.
Le groupe de luxe s'attend à un repli de 30% de son résultat opérationnel sur un an pour la deuxième moitié de l'année. Ses bénéfices ont chuté de 42% au premier semestre. La relance de Gucci ne porte pas encore ses fruits.
Plus de 90% des actionnaires ont apporté leurs actions à l’offre qui restera ouverte jusqu’au 6 août avant un retrait de la cote hongkongaise. Blackstone, Goldman Sachs et le Crédit Agricole participent à l’opération.
Le bénéfice net du numéro un mondial du luxe, qui atteint tout de même près de 7,3 milliards d'euros, a reculé de 14% et est ressorti inférieur aux attentes du consensus. Il reflète la faiblesse de la demande chinoise et des effets de change négatifs. En Bourse, l'action chute.
La maison mère de Facebook souhaiterait intensifier ses collaborations avec le géant franco-italien de l’optique avec qui elle a déjà lancé des lunettes connectées de la marque Ray-Ban.
Le fabricant de lunettes est sanctionné en Bourse après l'annonce de cette acquisition à 1,4 milliard d'euros réalisée en dehors de sa zone de confort.
Le groupe allemand a fortement baissé ses objectifs annuels pendant que le suisse Richemont publiait des chiffres trimestriels sans éclat, en attendant les publications de Hermès et LVMH la semaine prochaine.
Après des ventes en berne sur le premier trimestre de son exercice décalé, le spécialiste britannique du luxe a annoncé la suppression de son dividende et le départ de son directeur général.
L'actionnaire de LVMH a pris selon Bloomberg une position dans le capital du propriétaire de Cartier et de Van Cleef & Arpels. De quoi faire réagir le titre du groupe suisse.