L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
Cette place de marché permet aux acheteurs de faire de bonnes affaires sur des actifs bien évalués et aux vendeurs de récupérer des fonds pour rembourser des dettes ou se relancer.
Ce prototype technique mené sous l’égide de la BRI a permis de réaliser des transactions en temps réel entre l’Eurosystème, la Malaisie et Singapour. Prochaine étape : l’élargissement.
La fintech des fintechs s’attaque à une nouvelle cible : les grandes entreprises qui pourraient intégrer des services financiers à leur offre. Un livre blanc vient appuyer la démarche de ce «banking-as-a-service».
Engagée dans un programme stratégique de cloud avec son partenaire historique, la banque tire les premiers résultats positifs de ce choix. La transformation se poursuit.
Avec ce rachat, la fintech compte offrir à ses clients marketplaces une solution de gestion des paiements complexes enrichie et des coûts réduits, grâce notamment au routage intelligent.
Outre la révision de la directive sur les services de paiement DSP2 qui pourrait encadrer l’open finance au-delà des comptes de paiement, banques et fintechs sont toujours à la recherche de modèles économiques viables.
Alors que commence la semaine de l’éducation financière sous l’égide de la Banque de France, un projet européen de «cybercitoyen» vient de présenter un rapport sur les pratiques des Etats-membres dans ce domaine.
La clientèle de commerçants du premier pourra ainsi bénéficier des innovations développées par le second et accepter des paiements open banking ou en cryptos.
La fintech de paiement, dont la valeur baisse continuellement depuis deux ans, veut utiliser ces fonds pour racheter les actions attribuées à ses salariés et régler la note fiscale correspondante.
Le service, qui sera intégré à la filiale Django de La Banque Postale, s’adresse directement aux consommateurs. Il ne nécessite pas d’intégration chez les commerçants et évite la surconsommation grâce à l’open banking.
En combinant open data et intelligence artificielle, cette start-up nordiste réduit considérablement la fraude et améliore le taux de transformation des enseignes.