Dans une déclaration laconique publiée sur X samedi 24 mai, le milliardaire a évoqué un retour aux affaires après un passage éclair au sein de l’administration Trump. Les ventes de Tesla sont en chute libre, le conseil d’administration demanderait sa tête, son réseau social X subit des bugs à répétition, et le prochain tir de sa megafusée Starship, prévu la nuit du 27 au 28 mai, est plus déterminant que jamais pour ses ambitions dans l’espace.
Le marché primaire sur ces instruments a également repris, que ce soit les additional tier 1 (AT1) bancaires ou les hybrides corporate, après quasiment deux mois d’arrêt, avec des conditions de prix serrées.
L’opérateur boursier va lancer au quatrième trimestre 2025 un nouveau type d’ordres devant permettre d’exploiter des liquidités supplémentaires lors des enchères d’ouverture et de clôture. Et de répondre simultanément aux besoins spécifiques de certains grands investisseurs (AM et ETF).
Les problèmes de l'industrie sidérurgique sont loin d'être réglés. L'OCDE explique dans son dernier rapport sur l'acier comment des capacités de production mondiales en hausse se heurtent à une demande qui devrait, au mieux, rester atone.
Le ministère des Finances japonais envisage de réduire la part des emprunts au-delà de 20 ans dans son programme d’émission cette année. Un soulagement pour les marchés.
Le marché primaire obligataire corporate euro a enregistré un quart des volumes émis depuis le début de l’année en quinze jours. L’ensemble du marché obligataire européen a dépassé les 1.000 milliards d’euros d’émissions.
Le président américain a une nouvelle fois fait machine arrière, concernant cette fois sa menace de taxer les importations de l’UE à hauteur de 50%, en donnant un délai supplémentaire jusqu’au 9 juillet pour négocier. Les marchés ont rebondi.
Le cartel et ses alliés doivent se réunir deux fois cette semaine. Les analystes s’attendent à une hausse importante de la production, dans le sillage des précédentes annonces.
Donald Trump a relancé la semaine passée l'idée de privatiser les agences semi-publiques de garanties hypothécaires américaines Fannie Mae et Freddie Mac qui avaient été nationalisées après la crise de 2008. Une telle opération ne semble pas pourtant d’actualité au regard de leur déficit de fonds propres et du renchérissement que leur privatisation engendrerait sur les prêts hypothécaires.
Après une conversation avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le président américain a accepté de décaler jusqu’au 8 juillet la mise en œuvre de droits de douane de 50% sur les biens de l’Union européenne.
Le président américain souhaite mettre en place des droits de douane de 50% sur les produits importés de l’Union européenne dès le 1er juin prochain. Les actions et les taux réagissent violemment.
A l’occasion d’une décision concernant le licenciement de deux membres démocrates d’une agence fédérale, la plus haute institution judiciaire des Etats-Unis a insisté sur les caractéristiques particulières de la Fed.
Le marché des obligations bleues, ces instruments de dette calqués sur les obligations vertes qui financent l’économie bleue, est une niche de quelques milliards de dollars qui peine à se développer.
Yannick Ouaknine, responsable de la recherche ESG, et Virgile Haddad, analyste sénior, recherche actions, chez Bernstein Societe Generale Group, dressent pour L'Agefi, les pistes envisageables pour ne pas dégrader davantage les océans.
A l’occasion d’un entretien accordé à L'Agefi, Maria Paola Toschi, stratégiste global market chez JPMorgan Asset Management, explique l’impact de la guerre tarifaire sur les marchés et l’économie américaine.
La Chambre des représentants a voté jeudi matin la loi budgétaire pluriannuelle nommée par Donald Trump «One Big Beautiful Bill Act» (OBBBA). Les marchés anticipent qu’elle passera bientôt au Sénat, avec le risque inquiétant d’augmenter le déficit de 3.800 milliards de dollars sur dix ans.
Ces agences semi-publiques avaient été nationalisées lors de la crise financière de 2008-2009. Une privatisation pourrait affecter le coût des hypothèques pour les emprunteurs.
En requérant moins de capital, ces nouveaux contrats portant sur la vente ou l’achat de 10 actions au lieu de 100 offrent également un éventail plus large de choix et de nouvelles opportunités de couverture pour des gérants de petite taille.