Les prouesses de l’IA générative ont éclaté à la face du monde il y a à peine un an. Cette technologie révolutionnaire promet de donner un important coup de fouet à nos économies.
Chef économiste chez Carmignac, Raphaël Gallardo décortique les modèles statistiques qui permettent d'apprécier la situation de l’emploi aux Etats-Unis, dont les derniers chiffres ont été publiés le 6 octobre.
A l'heure où la Banque centrale européenne s'interroge sur la continuation de sa politique restrictive, plusieurs données peuvent expliquer les inquiétudes sur une poursuite de l’inflation en 2024.
Exclusif – Selon des données de LinkedIn, les professionnels de la finance en France ne sont que 8,3% à afficher au moins une compétence en lien avec l’environnement. D’autres industries font beaucoup mieux.
Un taux de chômage passé de 3,5% à 3,8% en août confirme la position des marchés qui anticipent de plus en plus un statu quo de la Fed pour les prochains mois.
Plus d’un quart des répondants à un sondage aux Etats-Unis indiquent utiliser régulièrement l’outil d’intelligence artificielle au travail. A terme, 40% du temps de travail pourrait être affecté.
Un rapport sur l’emploi modéré, mais montrant encore des tensions, a ravivé l’idée d’un atterrissage en douceur de l’économie, renforçant les anticipations d’une pause de la Fed.
Les Etats-Unis ont créé un peu moins d’emplois que prévu en juillet, mais le salaire moyen progresse plus qu'anticipé et le taux de chômage recule. Le marché s'accorde une pause.
Après les chiffres de l'enquête ADP qui ont fait chuter les marchés européens jeudi, les données officielles publiées par le département du Travail américain ont entraîné un franc mais éphémère rebond des actions européennes vendredi.