Nos articles d’actualité et d’analyse sur le groupe mutualiste rassemblant les Caisses d’Epargne, les Banques Populaires et Natixis, sur ses résultats financiers, sa stratégie, ses investissements, sa politique de ressources humaines, sa gouvernance.
Lors d’une conférence de presse, le président du directoire de BPCE et président du conseil d’administration de Natixis, a indiqué «attendre la stabilisation de la chaîne actionnariale de Generali». Il a souligné que le projet respectait les souverainetés nationales.
Gaetano Caltagirone et la holding Delfin, opposés au projet de mariage dans la gestion, auront un poids de 30 % dans Mediobanca, premier actionnaire de Generali. Ils sont en position de force pour mettre en échec la fusion de Generali IM et de Natixis IM.
Un texte signé mi-juillet consacre deux chapitres à l’intelligence artificielle générative, abordant ses usages et son intégration dans le dialogue social.
Le résultat net ressort à 1,8 milliard d'euros sur les six premiers mois de l'année. Le groupe se veut rassurant sur l'opération de mise en commun de sa gestion d'actifs avec Generali, pour laquelle il faut seulement attendre un moment opportun pour conclure.
L’assureur spécialisé, filiale de BPCE, gère ses 3,8 milliards d’euros d’actifs de façon prudente en recourant aux expertises de gestion de son groupe.
Dans la plupart des grandes banques françaises, les salariés bénéficient d’un jour de télétravail en agence et de deux jours dans les fonctions siège et support. Aucune évolution n’est au programme, mais le changement de braquet du groupe de La Défense sonne comme un avertissement.
Salué comme une bonne nouvelle pour l'Union bancaire, le rachat de Novo Banco ne changera pourtant rien à l'affaire. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
La transaction valorise la banque portugaise à 6,4 milliards d’euros et constitue la plus grande acquisition d'une banque dans la zone euro depuis 10 ans.
Les banques mutualistes ont recensé à elles deux 104 salariés rémunérés plus d’un million d’euros en 2024. C’est beaucoup moins que BNP Paribas ou même la Société Générale.
Entre Jamie Dimon de JPMorgan et Philippe Brassac du Crédit Agricole, la différence de rémunération est abyssale. Loin derrière les Américains, les dirigeants des banques françaises sont également nettement moins bien payés que leurs homologues européens.
La nouvelle entité, qui revendique le traitement de 17 milliards de transactions par an, va faire concurrence à celle créée par Worldline et le Crédit Agricole.
Le rapprochement de Natixis IM avec la gestion de Generali, après celui d'Axa IM avec BNP Paribas AM, recompose le secteur, notamment en France. Les acteurs de taille moyenne cherchent des solutions pour exister aux côtés de ces futurs mastodontes.
Officialisé ce mardi, le rapprochement de Natixis IM et Generali Investments forme le numéro un européen de la gestion par les revenus, détenu à 50-50. Une opération à 9,5 milliards d'euros, doublée d'un accord de distribution sur quinze ans.
Ce projet doit encore être validé par le conseil d'administration de l'assureur qui se réunit ce lundi 20 janvier. Il est également regardé de près par les autorités italiennes.
La fintech du groupe bancaire, Hexarq, a décroché le sésame PSAN auprès de l’Autorité des marchés financiers. Elle est seulement la quatrième dans ce cas.
Les contours de l’accord entre Generali et Natixis en matière de gestion d’actifs se dessinent, écrit le quotidien économique italien Il Sole 24 Ore. Tout tournerait autour de la création d’une nouvelle plateforme dont le capital se partagerait également entre Generali Investment Holding (soit 42 % pour Generali et 8 % pour Cathay Life) et le géant français.
A la Société Générale, Slawomir Krupa vient de se séparer de sa directrice financière et de la patronne de la banque de détail, tandis que Stéphanie Paix se met en retrait chez BPCE. Des départs qui accentuent encore la rare présence des femmes au sommet des banques.
L’impact pour les trois banques cotées, BNP Paribas, Crédit Agricole SA et la Société Générale, ne devrait toutefois pas excéder 4% de leurs profits nets.
Adossée au Crédit Coopératif depuis sa création en 1988, la Nef a collecté 25 millions d’euros pour renforcer ses fonds propres en vue de devenir autonome. Elle veut désormais doubler de taille.