La proposition de Kretinsky-Fimalac serait un peu moins dilutive pour les actionnaires et réduirait davantage l’endettement que celle du trio Niel-Pigasse-Zouari. Mais elle n’assure pas clairement un maintien de l’emploi.
Le règlement européen sur les plans de redressement et de résolution des contreparties centrales fait l’objet des derniers textes d’orientation. Complément indispensable du règlement Emir sur la résolution, ce texte adopté fin 2020-début 2021 pour une entrée en vigueur séquencée autour de 2022 permet à l’Union européenne de se positionner pour promouvoir son cadre à l’international.
Le distributeur a indiqué que ces propositions seraient étudiées lors d’une réunion le 5 juillet. Elles seraient comprises entre 900 millions et 1,5 milliard d’euros. La cotation est suspendue.
Le groupe de distribution met en garde contre un risque de défaut. De quoi alimenter la forte volatilité sur le titre en Bourse. D’autant que l’addition sera plus salée que prévu pour les candidats repreneurs.
Le groupe de distribution rompt un de ses engagements financiers concernant une ligne de crédit renouvelable. La date limite pour le dépôt des offres de reprises est fixée à ce lundi.
Les actions des deux groupes se sont effondrées jeudi. Deux histoires différentes, mais un point commun : si les créanciers vont bien payer au prix fort les restructurations, les actionnaires existants seront, quant à eux, rincés.
La majorité requise pour mettre en œuvre le plan de sauvegarde du gérant de maisons de retraite n’a pas été atteinte lors de votes qui se sont terminés le 28 juin.
Quelques jours après avoir bouclé la reprise de sa rivale en difficulté, la banque suisse chercherait, selon Bloomberg, à supprimer près de 35.000 postes au total.
Les porteurs d'Oceane et les actionnaires votent ce mercredi sur le plan de restructuration du groupe. La négociation des titres devrait reprendre le 29 juin.
Le distributeur et ses conciliateurs veulent parvenir d'ici à la fin juillet à un accord de principe avec les principaux créanciers sur la restructuration de la dette financière du groupe.
La cour d’appel de Versailles permet la bonne tenue de la consultation des actionnaires et créanciers le 28 juin. Mais, sa décision ne satisfait pas les créanciers à la manœuvre.
Le gérant de maisons de retraite qui s’est rebaptisé Clariane a conclu un accord avec Amundi Immobilier, Covéa, Crédit Agricole Assurances et Malakoff Humanis.
Eric Lombard, directeur général de l’institution de la rue de Lille, et Alexandre Holroyd, son président, étaient auditionnés jeudi par la commission des finances de l’Assemblée nationale. Au risque d’offrir de nouveaux arguments aux opposants.