La commissaire européenne à la concurrence Teresa Ribera a répliqué a Donald Trump, quelques jours après que le président américain a menacé d'imposer des droits de douane et des contrôles à l'exportation aux pays qui taxent les géants américains de la tech.
La start-up d'intelligence artificielle du milliardaire, xAI, veut poursuivre en justice la marque à la pomme au sujet du classement de l'App Store qui favoriserait OpenAI.
La performance des services sera particulièrement regardée lors de la publication des résultats trimestriels du géant à la pomme ce jeudi. Des annonces sur l'intelligence artificielle sont aussi espérées alors que le groupe affiche un retard sur ses concurrents en la matière.
Microsoft vient de recruter une vingtaine d'ingénieurs et développeurs IA de haut niveau chez Google DeepMind. Meta vient aussi d'y débaucher des talents, peu après en avoir recruté chez Apple et OpenAI. Dans cette bataille des recrutements, les hauts salaires, paquets d'actions et, fait nouveau, primes à la signature figurent dans les "welcome bonus".
Le fabricant de l'iPhone a fait appel lundi 7 juillet pour contester l'amende de 500 millions d'euros infligée en avril dernier par les autorités de régulation de l'Union européenne en vertu du règlement sur les marchés numériques.
Le constructeur de l’iPhone a fait des concessions à compter du jeudi 26 juin. Il veut ainsi éviter d'accumuler d'autres amendes en vertu de la loi sur les marchés numériques de l'UE.
La marque à la pomme envisagerait d’acquérir pour plusieurs milliards de dollars Perplexity, considérée comme une des principales futures rivales de Google avec son moteur de recherche dopé à l’IA. Elle a aussi été regardée par Meta plus tôt dans l’année.
Le groupe dirigé par Tim Cooke peine à rassurer sur sa capacité à rester dans la course à l’intelligence artificielle. Mais si les analystes expriment leur déception, leurs recommandations n’en pâtissent pas. L’action Apple non plus.
Cours de Bourse en baisse, fondamentaux de sa chaîne d'approvisionnement menacés par la taxe douanière de Donald Trump, multiples enquêtes antitrust, prise de retard dans le train de l'innovation... A l'heure de la tenue de sa conférence annuelle des développeurs, le WWDC, qui se tient le 9 juin à son siège de Menlo Park, les pépins sont nombreux pour Apple. La marque à la pomme parviendra-t-elle à surprendre cette année ?
Au terme de la trêve de 90 jours, qui s’achèvera le 9 juillet, Donald Trump peut tout à fait décider de maintenir ou pas les droits de douane de 145% qu'il a annoncés pour les produits importés depuis la Chine. Comme pour les autres géants de la tech, il exige d'Apple qu'il rapatrie la fabrication de ses produits destinés au marché américain aux Etats-Unis. Cela impliquerait que le constructeur de l'iPhone bouleverse l’ensemble de son écosystème, bâti depuis 20 ans.
Huawei, Xiaomi, Oppo et Vivo sont désormais au coude à coude avec Apple sur le marché domestique chinois. Encore méconnues il y a cinq ans, elles sont aussi en train de se développer partout dans le monde.
Cette association entre Jony Ive et la société éditrice de ChatGPT cofondée par Sam Altman pourrait rebattre les cartes dans les services autour de l’IA. Et gêner d’autant plus Apple, qui peine à sortir des produits innovants.
Microsoft, Apple, Amazon et Meta ont publié des résultats meilleurs qu'attendu. Toutes ces sociétés, appartenant pourtant au même secteur, n'ont pas la même capacité à rassurer sur leurs perspectives pour cette année.
Le fabricant de l'iPhone s'apprête à ouvrir en baisse à Wall Street après la publication de chiffres trimestriels solides. La guerre commerciale pourrait lui couter 900 millions de dollars au deuxième trimestre.
Alors qu'il devrait publier des résultats en hausse au titre du premier trimestre, le groupe à la pomme est mis sous pression par la guerre commerciale lancée par Donald Trump. S'il fait des concessions à l'administration américaine, en matière d'investissements notamment, il envisagerait aussi de fabriquer en Inde la totalité de ses iPhone à destination des Etats-Unis.
L'éditeur de Facebook est sanctionné à hauteur de 200 millions d'euros, et la marque à la pomme de 500 millions, pour violation du droit européen, dans le cadre de nouvelles règles antitrust strictes pour les Big Tech formalisées par le DMA. Elles pourraient attiser les tensions avec Washington.
En pleine guerre commerciale avec la Chine, les Etats-Unis ont infléchi leur position en exemptant smartphones, ordinateurs et autres produits électroniques des récentes augmentations de droits de douane. Même si de nouvelles taxes sur les semi-conducteurs sont imminentes, les marchés ont salué le sursis accordé aux géants technologiques.
Pour échapper aux nouvelles taxes douanières, l'administration Trump invite la marque à la pomme à rapatrier sa production sur le territoire américain. Le constructeur de l’iPhone ne peut se priver de l’un de ses principaux marchés, mais il ne pourra pas absorber les inévitables hausses de coûts de production sans augmenter ses prix.
Les géants technologiques, tels Apple, Meta, Nvidia, et même HP et Dell, chutaient à Wall Street au lendemain de l'annonce par Donald Trump des nouveaux tarifs douaniers. Ceux-ci sont particulièrement lourds envers les pays asiatiques, où tous ont d'importantes chaînes d'approvisionnement et bases de production. Ils anticipent déjà des effets sur leurs marges. L’Union européenne, de son côté, ajuste sa stratégie.
Après des mois d’attente, Apple Intelligence, l’IA d’Apple, investit les iPhone, iPad et Mac compatibles en France et en Europe, via une mise à jour iOS 18.4 opérée lundi 31 mars.