Israël a l’intention de privatiser entièrement son service postal en combinant une offre d’actions à Tel-Aviv et d’autres mesures, y compris une éventuelle vente à une entité privée. Le ministre des Communications Yoaz Hendel a déclaré jeudi que 40 % du capital d’Israel Post serait vendu dans le cadre d’un appel public à l’épargne et que le reste des actions de l’État serait cédé par le biais d’une vente de gré à gré, d’une introduction en bourse ou d’une combinaison des deux. Les grandes lignes ont été approuvées par le ministre des Finances israélien, mais aucun calendrier n’a été annoncé. Après des années de mauvaise gestion, Israel Post a mis en œuvre une réorganisation majeure touchant ses centres de livraison et incluant une baisse de ses effectifs. Yoaz Hendel a proposé d’autres réformes permettant d’alléger la réglementation du secteur, d’accroître la concurrence dans l’envoi du courrier, d’accélérer la transition numérique de l’entreprise et d’augmenter le montant des amendes pour violation des dispositions relatives aux licences.
La privatisation de l’exploitant des aéroports parisiens Groupe ADP n’est pas un sujet pour Vinci à l’heure actuelle, a déclaré mercredi son PDG, Xavier Huillard. «Cela le sera peut-être dans le courant de l’année 2020, on verra», a affirmé le dirigeant lors de ses voeux à la presse. La privatisation du groupe ADP, dont l’Etat détient 50,6%, a été suspendue à la suite de l’acceptation par le Conseil constitutionnel de la proposition de référendum d’initiative partagée (RIP) visant à empêcher cette opération. Vinci détient déjà 8% du capital d’ADP.
La privatisation de l’exploitant des aéroports parisiens Groupe ADP n’est pas un sujet pour Vinci à l’heure actuelle, a déclaré mercredi son PDG, Xavier Huillard.
Le projet de référendum sur la privatisation d’Aéroport de Paris (ADP), lancée à la mi-juin, a recueilli plus d’un million de signatures (1.000.500 précisément), selon le décompte arrêté par le Conseil constitutionnel au 4 décembre 2019. Pour être validée, la proposition de loi référendaire doit être approuvée par un dixième des électeurs inscrits, soit 4.717.396 personnes d’ici à la mi-mars. En avril, Emmanuel Macron s'était dit favorable à l’abaissement à un million de signatures du seuil nécessaire à l’organisation d’un référendum d’initiative partagée (RIP).
Le projet de référendum sur la privatisation d’Aéroport de Paris (ADP), lancée à la mi-juin, a recueilli plus d’un million de signatures (1.000.500 précisément), selon le décompte arrêté par le Conseil constitutionnel au 4 décembre 2019.
A l’heure où la France privatise la Française des Jeux rhabillée en entreprise à but social qui revendique quasiment le label ISR, au Royaume-Uni, le pays du bingo et du pari sur absolument tous les sujets, des banques ont mis en place des « gambling blocks », des dispositifs empêchant leurs clients d’utiliser leur carte bancaire pour jouer en ligne ou dans les salles de jeu. Selon Finextra, le centre de recherche en finance personnelle de l’université de Bristol et l’ONG GambleAware, qui lutte contre l’addiction aux jeux, vont suivre l’efficacité de ces bloqueurs et appellent d’ores et déjà les acteurs financiers à se soucier davantage de leurs clients vulnérables. Pour gagner de l’argent, mieux vaut donc investir dans la FDJ que d’acheter ses produits.
La privatisation de la Française des Jeux (FDJ) se fera bien courant novembre, conformément au souhait du gouvernement, a annoncé le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, dans un entretien au Journal du Dimanche. Il précise que «pour les particuliers, sous réserve de validation par l’Autorité des marchés financiers, une action gratuite sera accordée pour 10 actions achetées, si ces actions sont conservées 18 mois». Il souhaite une décote de 2% sur le prix de l’action achetée. Interrogé sur l’objectif d’un milliard d’euros pour cette cession, évoqué en début de semaine par la présidente directrice-générale de la FDJ Stéphane Pallez, Bruno Le Maire botte en touche. Quatrième loterie mondiale et numéro deux européenne, la FDJ est contrôlée à 72% par l’Etat français, qui compte conserver 20% du capital à l’issue de l’opération.
Le gouvernement néerlandais réfléchit à différentes options stratégiques concernant TenneT, le réseau public de transport d'électricité. Dans un communiqué, il indique qu’une partie voire la totalité du capital du groupe pourrait être vendu à des intérêts privés. Le gouvernement pourrait également injecter de nouveaux fonds au capital du groupe. TenneT, qui présent aux Pays-Bas et en Allemagne, a besoin de 4,75 milliards d’euros de capitaux frais pour pouvoir assurer un plan d’investissement de 35 milliards d’euros jusqu’en 2028.
Le gouvernement néerlandais réfléchit à différentes options stratégiques concernant TenneT, le réseau public de transport d'électricité. Dans un communiqué, il indique qu’une partie voire la totalité du capital du groupe pourrait être vendu à des intérêts privés. Le gouvernement pourrait également injecter de nouveaux fonds au capital du groupe.
Le gouvernement français souhaite privatiser La Française des jeux (FDJ) courant novembre si les conditions de marché le permettent, a déclaré dimanche le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, lors du Grand Rendez-vous CNEWS-Europe 1-Les Echos. Le principe de cette privatisation, comme celle d’ADP (ex-Aéroports de Paris), a été approuvé au printemps dans le cadre de la loi Pacte. Le produit de ces opérations est censé contribuer à un fonds pour l’innovation de rupture, doté de 10 milliards d’euros, et à participer au désendettement du pays.
Les députés et sénateurs ont approuvé la reconduction, proposée par Emmanuel Macron, de Stéphane Pallez au poste de présidente-directrice générale de la Française des jeux (FDJ). Elle devra notamment mener à bien le projet de privatisation de la FDJ, dont le principe a été approuvé fin mai dans le cadre de la loi Pacte. Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a déjà précisé que l’introduction en Bourse de la FDJ pourrait avoir lieu d’ici à la fin de l’année si les conditions de marché le permettent.
Les députés et sénateurs ont approuvé la reconduction, proposée par Emmanuel Macron, de Stéphane Pallez au poste de présidente directrice-générale de la Française des jeux (FDJ). Le feu vert a été accordé par les commissions des Finances du Sénat et de l’Assemblée nationale, qui ont successivement auditionné Stéphane Pallez mercredi matin. Sa reconduction a été approuvée par 13 voix de députés (aucun vote contre, un bulletin nul) et par 19 voix de sénateurs (deux voix contre, sept bulletins blancs).
L’Etat a choisi mercredi les banques chargées de mener le projet de privatisation de la Française des Jeux (FDJ), a appris L’Agefi de plusieurs sources. BNP Paribas, la Société Générale, Citigroup et Goldman Sachs ont été retenues comme coordinateurs globaux. Les teneurs de livres ont également été choisis : le Crédit Agricole, HSBC et Natixis. Lazard est conseil de l’Etat sur l’opération. Empêtré dans le dossier ADP, le gouvernement veut faire de la privatisation de FDJ une opération emblématique, en visant notamment la catégorie des investisseurs particuliers. L’Etat détient actuellement 72% du capital de FDJ. Il pourrait conserver entre 25% et 30% après la privatisation. Le produit de la privatisation servira à alimenter le Fonds pour l’innovation et l’industrie de 10 milliards d’euros.
Le projet de privatisation de la Française des Jeux (FDJ) vient de franchir une étape technique importante. L’Etat a choisi mercredi les banques chargées de mener l’opération, a appris L’Agefi de plusieurs sources. BNP Paribas, la Société Générale, Citigroup et Goldman Sachs ont été retenues comme coordinateurs globaux. Les teneurs de livres ont également été choisis : le Crédit Agricole, HSBC et Natixis. Lazard est conseil de l’Etat sur l’opération.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a confirmé ce matin qu’il visait une privatisation de la Française des jeux (FDJ) «d’ici la fin de l’année, si les conditions de marché le permettent». La recherche des banquiers conseil a été engagée. «Je veux le faire dans les conditions de transparence totale», a assuré le ministre sur BFMTV et RMC.
S’il censure 24 articles pour des motifs de procédure, le Conseil confirme la plupart des points qui ont fait l'objet de sa saisine, dont la privatisation d’ADP.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a indiqué vendredi sur CNews que le gouvernement mettrait en suspens la privatisation d’Aéroport de Paris pendant que la procédure de référendum d’initiative populaire (RIP) suivrait son cours. Pendant le déroulé de cette procédure, autorisée hier par le Conseil constitutionnel, «nous n’allons engager aucune procédure de privatisation», a déclaré le ministre.