Le poids des actionnaires au capital du gérant de maisons de retraite pourrait tomber sous 0,05% et la valeur de l'action chuterait à moins de 0,02 euro en cas de restructuration imposée.
L’action du groupe de maisons de retraite et de cliniques touche un nouveau plus bas, conséquence logique de l’avancée du plan de restructuration financière.
Dans un entretien exclusif à L'Agefi, Dominique Laboureix, président du Conseil de résolution unique européen depuis fin novembre, juge que la gestion des crises SVB et Credit Suisse ne remet pas en cause le modèle européen.