Nos articles d’actualité et d’analyse sur les principaux programmes de rachats d’actions mis en œuvre par les entreprises cotées ainsi que sur les grandes dynamiques de cette pratique qui permet de rémunérer les actionnaires en réduisant le nombre de titres composant le capital d’une société.
Le fabricant canadien de parkas suscite des offres de rachat valorisant l’entreprise autour de 1,4 milliard de dollars. Bain Capital, actionnaire majoritaire, pourrait se désengager après plus de dix ans de présence au capital.
Le groupe de La Défense fait nettement progresser ses revenus, notamment dans la banque de détail en France, tout en maintenant un coût du risque faible et en réduisant ses frais de gestion. Il est en avance sur toutes ses cibles annuelles. Son action est au plus haut depuis 2008.
Le géant de l’or noir a publié des résultats trimestriels en repli et inférieurs aux attentes. Le programme de rachat d’actions n’est pas remis en cause, pour le moment.
JPMorgan, Bank of America, Goldman Sachs, Citi, Wells Fargo et Morgan Stanley ont toutes annoncé des hausses de dividendes ou des rachats d’actions après que la Banque centrale américaine a annoncé qu’elles avaient réussi leurs tests de résistance.
Après avoir repris le versement d’un dividende, le fabricant de tubes sans soudure va acquérir 1,2 million de ses propres actions et confirme ainsi son retour à meilleure fortune.
En avril, les rachats d’actions ont atteint un niveau record pour le Stoxx 600 en Europe, avec 17 milliards d’euros de titres acquis par les sociétés cotées. Au cours des trois derniers mois, les financières ont fait la course en tête avec 13,5 milliards d'euros de rachats.
Confronté à la chute des cours de l’or noir, ExxonMobil maintient son programme de rachats d’actions, alors que son rival Chevron adopte une approche plus prudente.
Donné perdant dans la bataille de l’intelligence artificielle, le groupe a surpris avec des résultats trimestriels meilleurs qu’attendu. A la clé, un bénéfice net record de 34,5 milliards de dollars, en hausse de 46% sur un an. De quoi s'autoriser un nouveau plan de rachat d’actions de 70 milliards de dollars.
François Meunier, économiste et professeur affilié Ensae, s'est plongé dans les comptes nationaux pour tenter de déterminer ce qu'il advient des dizaines de milliards d'euros versés par les entreprises à leurs actionnaires.
Le groupe anticipe une hausse organique de ses ventes inférieure à 4% cette année après une progression de 5,2% en 2024. Il annonce une augmentation de son dividende et un plan de rachat d'actions.
L'assureur prévoit d'engager un plan de rachat d'actions global de 5 milliards d'euros une fois la cession d'Axa IM à BNP Paribas réalisée. Le dividende augmente de 9%.
Elle ne devrait rapporter que 400 millions d’euros sur la période mars 2024 – février 2025. Le premier contributeur TotalEnergies anticipe un coût pour le groupe de 100 à 150 millions d’euros cette année.
La banque suisse a enregistré un profit net supérieur aux prévisions au quatrième trimestre mais des doutes sur son programme de rachat d’actions et une valorisation élevée font chuter l’action.
Le géant des cosmétiques verra son poids dans le laboratoire reculer à 7,2% pour 13,1% des droits de vote. L'Oréal, qui est de son côté détenu à hauteur de 20% par Nestlé, compte utiliser les 3 milliards d'euros obtenus pour optimiser son bilan.
La banque allemande a renoncé à un objectif en matière de réductions de coûts et dévoilé des résultats 2024 inférieurs aux attentes. La Bourse prend ses bénéfices.
Le gestionnaire britannique Schroders a annoncé, vendredi 20 décembre, la finalisation de son rachat de 6.383.664 actions ordinaires de 20 pence chacune pour un montant total avoisinant 20 millions de livres sterling. Le rachat avait été annoncé le 13 novembre 2024. Les actions rachetées ont été détenues en trésorerie par Schroders, dans l’objectif d’être utilisées pour satisfaire les attributions dans le cadre des plans d’actionnariat salarié de l’entreprise.