Nos articles d’actualité et d’analyse sur ces fonds d’investissement qui ont la particularité d'être détenus par des Etats souverains. En France, ce rôle est joué par Bpifrance mais les principaux fonds souverains sont dans les mains de pays pétroliers (Norvège, Qatar, Arabie saoudite, Abu Dhabi) ou de deux pays asiatiques, la Chine et Singapour.
L'avantageux système fiscal du pays envers les multinationales permettra d'alimenter à partir de 2024 un fonds souverain pour les retraites et le climat.
Les partenaires prévoient de développer une coopération opérationnelle, au travers de véhicules d'investissement et de programmes spécifiques dédiés dans les deux pays.
Le fonds souverain émirati intensifie et structure son activité pour compte de tiers pour partager ses opportunités d’investissement avec d’autres investisseurs.
Le Government Pension Fund Global voit plutôt d'un bon œil l'opportunité d'investir dans les actions non cotées, jusqu'à présent exclues de sa stratégie. Il doit encore convaincre le gouvernement et les parlementaires.
L’investisseur détenu par l’Etat singapourien déroule une stratégie mondiale d’investisseur de long terme. Avec des actifs presque également répartis entre coté et non coté, il affiche un rendement total annualisé depuis sa création en 1974 de 14%. Benoit Valentin, senior managing director EMEA, détaille ses particularités alors que Temasek vient d’ouvrir un bureau parisien.
Malgré 14 milliards d'euros de pertes en 2022, le fonds souverain saoudien continue de grossir grâce à la manne pétrolière et peut investir largement dans des méga-projets pour le pays.