A l'occasion de la publication de résultats trimestriels supérieurs aux attentes, la banque britannique a dévoilé son intention d'investir 1,5 milliard de dollars en cinq ans dans son activité de gestion de fortune.
Après avoir subi en février dernier un revers devant le Conseil d’Etat, les autorités publiques veulent revoir la fiscalité des bons de souscription de parts de créateur d'entreprise (BSPCE), un des instruments de l’actionnariat salarié.
Dans son étude sur les tendances de long terme des marchés de capitaux, JPMorgan Asset Management table sur un environnement de taux plus élevé favorisant les marchés obligataires et souligne le rôle central de l'IA dans la croissance économique.
La collecte des SCPI enregistre un repli de 11% entre le deuxième et troisième trimestre. Les SCI s’enlisent à nouveau tandis que près de deux ans après avoir basculé en territoire négatif, les OPCI remontent légèrement la pente.
La nouvelle ère économique risque de creuser les écarts entre les bons et mauvais gérants, prédit le groupe américain dans ses perspectives annuelles 2025.
La faillite de Credit Suisse a provoqué une onde de choc dans le système financier helvétique, entraînant une décollecte record. La Suisse reste tout de même le centre de gestion de patrimoine le plus compétitif, suivie de Singapour et des Etats-Unis.
Le groupe d’investissement immobilier alternatif a annoncé coup sur coup le lancement d’une gamme de produits structurés quelques jours après celui de sa première SCPI.
Les socialistes ont fait adopter un amendement réhaussant la durée légale de détention d’une résidence principale à 5 ans pour bénéficier de l’exonération fiscale sur les plus-values de cession et éviter les "culbutes spéculatives".
En première lecture, les élus ont maintenu en séance plénière le taux du prélèvement forfaitaire unique à 30%, et réintroduit la condition de détention de quinze ans des actions, pour bénéficier de l'exonération de l’exit tax sur les plus-values latentes, en cas de départ d’un dirigeant actionnaire à l’étranger.
Les élus entendent graver dans le marbre le taux plancher d’imposition de 20% pour les foyers dont le revenu est supérieur à 500.000 euros par an. Si les députés ne terminent pas l’examen des 3.700 amendements d’ici vendredi, la version initiale du PLF 2025 sera envoyée au Sénat qui devra trancher.
Arrivés en force après la pandémie de Covid-19, ces acteurs veulent s’imposer dans le paysage ultra-concurrentiel français en misant sur leur profil international tant au niveau des clients que de l’offre.
Les députés ont écarté les 127 amendements qu’ils avaient adopté en une semaine. Ils conduisaient à une hausse de 60 milliards d’euros d’impôts, principalement concentrés sur les grandes fortunes et les entreprises.
Si la place financière genevoise voit une réduction du nombre de banques et des emplois traditionnels dans le secteur bancaire, elle compense par une forte croissance des secteurs technologiques et de la gestion de fortune.
L'entreprise d'investissement va démarrer la commercialisation de Private Star Selection IV sur des tickets à partir de 100 000 euros. Le véhicule sera principalement exposé aux Etats-Unis et au segment du mid market.
Pour garantir un traitement fiscal plus équitable en cas de cession à titre onéreux transmis grâce au Dutreil, l’amendement voté en commission propose de retenir la valeur des titres au jour de leur transmission abattue de l’exonération de 75%, comme valeur d’acquisition des titres pour le calcul de la plus-value.
Les députés ont voté la hausse du prélèvement forfaitaire sur les revenus du capital de 30% à 33%. Ils ont aussi plébiscité la pérennisation de la contribution différentielle sur les hauts revenus et réécrit l’article pour éviter les stratégies d’évitement des foyers redevables.
La société de gestion Arvella Investments va se recentrer sur le conseil en investissement et en investissement responsable selon les informations de L'Agefi.
Le groupe financier américain Goldman Sachs a atteint un record d’encours sous gestion – 3.103 milliards de dollars – à fin septembre dans son activité de gestion d’actifs et de fortune, selon ses résultats publiés ce mardi. La collecte nette de l’activité sur le trimestre se chiffre à 66 milliards de dollars, dont 37 milliards sur les produits de cash et 29 milliards sur les produits de long terme. Plus de la moitié des entrées nettes (36 milliards de dollars) s’est matérialisée sur les canaux de distribution tiers. L’appréciation des marchés entre juin et septembre a apporté 103 milliards de dollars d’encours supplémentaires. L’activité de gestion d’actifs et de fortune de Goldman Sachs enregistre un chiffre d’affaires net de 3,7 milliards de dollars au troisième trimestre 2024, en repli de 3% sur le trimestre et en augmentation de 16% sur un an. Les commissions de gestion engrangées sur la gestion d’actifs avoisinent 1,2 milliard d’euros, progressant de 7% sur trois mois et de 2% sur un an.
La société de gestion Bantleon, établie en Suisse et en Allemagne, s’est récemment lancée à l’assaut du marché français, a appris L’Agefi. L’entreprise a obtenu, début octobre, l’autorisation de l’Autorité des marchés financiers pour commercialiser trois fonds dont un axé sur les obligations mondiales et deux autres sur les obligations convertibles. Les trois fonds sont domiciliés au sein de la Sicav luxembourgeoise de Bantleon. En juin 2024, le gestionnaire allemand a acquis 62% de Credit Suisse Investment Partners Schweiz AG, ex-filiale de gestion d’obligations convertibles de Credit Suisse AM, auprès d’UBS. La transaction a été clôturée le 11 octobre et a fait passer les encours sous gestion de Bantleon à 25 milliards d’euros. L’ancienne filiale d’UBS-Credit Suisse sera renommée Bantleon Convertible Experts, et ses employés resteront actionnaires minoritaires.
La société, qui gère 35 milliards d’euros, mise sur une croissance organique et géographique pour se développer. Elle table sur ses fonds vedette, mais aussi sur sa gamme ESG et sa nouvelle offre de gestion sous mandat.