L’actualité et les analyses du marché immobilier, que les biens soient détenus en direct ou sous la forme de pierre-papier, les sujets liés au financement de cette classe d’actifs, ainsi que l’actualité des grands acteurs présents sur ce créneau tels que les courtiers, les banques, les entreprises de crowdfunding, etc, ainsi que les intervenants dans des nouveaux modes d’acquisition ou de location.
Au premier trimestre, les ventes sont en chute de 34% et les mises en vente de près de 25%, leur plus bas niveau de la décennie. Le taux d’annulation atteint 50% en moyenne, témoin des difficultés de la demande. Les promoteurs seront reçus par Bercy dans les prochains jours.
Les représentants du secteur ont remis au gouvernement leur plan d’action pour tenir l’objectif de 0 émission nette en 2050, comme l’impose l’article 301 de la loi Climat et Résilience.
Le durcissement des conditions de financement commence à exclure les ménages les plus précaires de l’accession à la propriété immobilière. Par peur de la règlementation sur la rénovation du parc immobilier et la dévaluation de leurs biens, les propriétaires sont prêts à accélérer leurs projets de vente.
Les prix ont bondi de 6,6% en un an dans les villes de plus de 45.000 habitants. Les promoteurs sont aux prises avec une inflation de leurs coûts de construction, une baisse continue du nombre de permis de construire et un taux de désistement qui peut grimper jusqu’à 60% pour certains.
Les données compilées par Immostat pour le premier trimestre confirment la prudence des investisseurs dans l’attente de la fin du resserrement monétaire.
Jérémy Orfeo, président de Weelim et Thomas Danset, co-fondateur de la plateforme La première brique, ont créé Stelair Rendement, une solution d’investissement multi plateformes.
Le retour de l’inflation et l’augmentation des taux à long terme réajustent l’attractivité des supports de placement. Mais laissent intact l’intérêt de la pierre-papier dans les portefeuilles des investisseurs.
Dans une interview au magazine Challenges, le président de la République a abordé les prochains chantiers du gouvernement, parmi lesquels la situation du marché immobilier.
Les taux d’emprunt n’ont en revanche jamais été aussi élevés depuis plus de huit ans, selon les derniers chiffres de la Banque de France. Et la tendance est encore plus marquée dans le reste de l’Europe.
La plateforme a proposé une première opération de 1,2 millions d’euros à ses investisseurs. Objectif: prendre de l’avance sur l’expansion européenne du crowdfunding.
Alors que le ministre du Logement doit faire des annonces issues du CNR Logement le 09 mai prochain, l'Apic s'invite dans le débat et présente ses propres recommandations.
Le président de Nîmes Métropole se confie sur les difficultés urbanistiques de son territoire, où les risques de catastrophes naturelles se mêlent aux enjeux de pénurie d’offre de logements et de désartificialisation des sols.
Oui, l’immobilier subit une imposition à l’IFI (impôt sur la fortune immobilière), ou encore diverses taxes… Mais différents abattements existent qui peuvent amoindrir la charge fiscale.
Selon une étude de Virgil, des revenus de près de 100.000 euros annuels seraient nécessaires pour acquérir un tel bien dans la capitale, 51.000 euros pour la première couronne et 32.000 en grande couronne.
Le ministre délégué auprès du ministre chargé de la Ville et du Logement reconnait la lourdeur administrative qui entrave les projets de transformation d’usage d’actifs obsolètes et souhaite que les constructeurs adoptent une vision plus «holistique» pour leurs futurs programmes.
Co-rapporteuse du groupe de travail "Réconcilier la France avec l'acte de bâtir", Catherine Sabbah revient sur les propositions issues du rapport, remis au ministre du Logement.
Le groupe de travail co-animé par Catherine Sabbah et Mickaël Nogal ont remis leur rapport au ministre du Logement. Objectif: réconcilier la France avec la production de logements nouveaux.
Au premier trimestre, les fonds immobiliers non cotés grand public ont collecté 2,8 milliards d’euros. Un volume en-dessous de la moyenne des cinq années précédentes.
La production de crédit s’est effondrée de plus de 40% au premier trimestre. La durée des emprunts se stabilise et ne permet plus aux ménages d’encaisser les chocs de marché. En parallèle, la hausse du niveau d’apport nécessaire exclut les emprunteurs les plus modestes.