Selon l’enquête annuelle de Trackinsight, près de 70 % des investisseurs internationaux envisagent d’augmenter leurs investissements dans les ETF actifs. Presque autant déclarent étudier aussi les ETF à base d’options.
Le premier fonds indiciels exposé aux valeurs européennes de la défense a été lancé en mars dernier. Depuis, un deuxième a été commercialisé et plusieurs autres sont dans les tuyaux. Les ETF d’actions américaines du secteur attirent moins les investisseurs.
Un premier fonds verra le jour cet été, annonce Tobias C. Pross, le directeur général de la société de gestion de l’assureur allemand, qui s’exprimait lors des European Media Days.
Pour tirer parti de la transformation de la demande en matières premières et en chaînes d'approvisionnement, le gestionnaire confectionne deux ETF gérés activement.
L’observatoire des ETF réalisé chaque année par Quantalys et BNP Paribas AM montre une poursuite du mouvement de démocratisation des fonds cotés, mais parfois de manière indirecte.
L’opérateur de marchés veut faciliter le financement des entreprises stratégiques pour l’autonomie de l’Europe et compte notamment sur les ETF pour attirer les fonds des investisseurs.
Si les ETF géographiquement diversifiés continuent d’être privilégiés, quelques pays tirent individuellement parti du mouvement actuel de réallocation des portefeuilles.
Les gérants actions interrogés par L'Agefi anticipent un recul de 0,4% à 2,2% des Bourses sur les six prochains mois. Sur un an, le Nikkei gagnerait 1%, le S&P 500 prendrait 2%, et les marchés européens 3%.
Morningstar relève dans son rapport trimestriel la très belle tenue des ETF axés sur la défense, tandis que les fonds listés actifs, grand succès de ces dernières années, marquent le pas.
N’est pas Warren Buffett qui veut. Un fonds indicel coté (ETF) aux Etats-Unis donne la possibilité d’investir comme le gérant iconique. La société américaine VistaShares vient de lancer le VistaShares Target 15 Berkshire Select Income ETF (OMAH), un ETF géré activement qui offre aux investisseurs une exposition à un portefeuille inspiré par Berkshire Hathaway.
La collecte a atteint 7,6 milliards d’euros la semaine dernière, finissant d’effacer les sorties qui avaient suivi le «Libération Day». Mais les actifs américains continuent d’être relativement boudés.