Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
De la construction aux concessions en passant par les électrons, le groupe français, qui s'apprête à changer de directeur général, s’est forgé au fil des ans un solide savoir-faire pour le développement de nouvelles activités. Un savoir-faire qui va désormais bien au-delà des autoroutes et des aéroports.
Recentrée sur les centres commerciaux les plus puissants, la foncière veut en faire un media à part entière. A la clé, plusieurs centaines de millions d’euros de revenus potentiels supplémentaires .
Le groupe informatique a enregistré 1,7 milliard d'euros de nouvelles commandes au premier trimestre grâce notamment à la signature de contrats stratégiques.
Face à la purge récente des marchés boursiers, plusieurs candidats à la cote font machine arrière et mettent en attente leur projet, à l'image de la fintech Klarna ou du courtier eToro. De part et d’autre de l’Atlantique, le doute ressurgit.
Le gestionnaire d’actifs parisien critique les conditions de l’offre sur la plateforme de livraison de repas. Il juge le prix proposé de 20,3 euros par action bien trop décoté face à une valeur intrinsèque de la cible dont il détient 2% du capital.
Les opérations de M&A impliquant une entité française reculent de 24% au premier trimestre, à 29,6 milliards de dollars selon le décompte de LSEG. Avec de très grandes disparités en termes de dynamiques de transactions.
Grand convalescent après un difficile refinancement l’an dernier, le groupe de services de nettoyage et de sûreté a vu sa rentabilité se dégrader en 2024. Le tout sur fond d’instabilité de sa gouvernance.
Le groupe, propriétaire et exploitant hôtelier, a dégagé en 2024 un résultat net de 627 millions d’euros, multiplié par six en un an. Cette performance financière, gonflée par d’importantes plus-values de cession, n'occulte pas la meilleure trajectoire opérationnelle.
Faute de repreneurs, la société, spécialiste des tests ADN, se place sous le chapitre 11 du régime américain des faillites. Sa fondatrice Anne Wojcicki démissionne afin de pouvoir bâtir sa propre offre de reprise. Une manière, pour elle, d'utiliser les subtilités du droit américain.
La nomination de Bernard Fontana, proposée par l'Elysée, en remplacement de Luc Rémont à la tête de l’électricien français, est censée pacifier les relations avec son actionnaire et ses grands clients.