Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
La plus importante des entités de Crédit Mutuel acquiert outre-Rhin la banque OLB pour 1,9 milliard d’euros. De quoi signer sa plus importante acquisition depuis 2008.
Le groupe automobile allemand vend pour 360 millions d’euros d’actions Traton. Ce qui réduit à la marge sa participation dans le propriétaire des marques Scania, Man et Navistar.
Euronext détaille dans la dernière édition de son baromètre sur la géographie actionnariale du CAC 40 et du SBF 120 la typologie des grands propriétaires des principales capitalisations tricolores. Les trois premiers actionnaires du CAC 40 sont familiaux.
L’ex-Orpéa conclut un accord avec des fonds de pensions néerlandais pour investir dans 600 lits d’immobilier de santé aux Pays-Bas. De quoi desserrer son frein à l’investissement en raison de ses contraintes d’endettement.
Confronté à une équation compliquée sur le terrain des coûts et des barrières commerciales, le premier groupe automobile européen s’attend à un millésime 2025 délicat.
L’ensemble des fédérations de banques régionales et du CIC a dégagé en 2024 un résultat net de 4,5 milliards d’euros, en légère érosion. Il n’envisage pas de fermer plus de 1% de ses agences par an au cours des quatre prochaines années.
Au terme d’une concertation avec l’industrie automobile, Bruxelles s’apprête à opter pour davantage de flexibilité en matière de réduction d’émissions de CO2. Une mesure saluée par le marché avec des hausses pour l’ensemble du compartiment en Bourse.
Pénalisée par son coût du risque, la banque mutualiste a dégagé en 2024 un résultat net en repli de 5,2 % à 395 millions d’euros. Les provisions pour créances douteuses ont quasiment doublé.
Le patron de la banque voit sa rémunération totale grimper d’un tiers, à 13,2 millions d'euros. Pour l’ensemble du groupe, l’enveloppe des bonus est en hausse de 13%.
Après un millésime 2024 record, le réassureur allemand rehausse sensiblement son dividende. Il lance un nouveau programme de deux milliards d’euros de rachat d’actions. De quoi propulser le titre à un nouveau plus haut historique.