Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
En avril, les rachats d’actions ont atteint un niveau record pour le Stoxx 600 en Europe, avec 17 milliards d’euros de titres acquis par les sociétés cotées. Au cours des trois derniers mois, les financières ont fait la course en tête avec 13,5 milliards d'euros de rachats.
La foncière tertiaire, spécialisée dans le quartier central des affaires de la capitale, s’offre un ensemble de 32.200 mètres carrés pour 435 millions d’euros. Objectif : réaccélérer la dynamique de sa croissance bénéficiaire.
Lesté d’une perte annuelle de 4,1 milliards d’euros pour son exercice 2024-2025, le constructeur automobile nippon va fermer sept usines et supprimer 20.000 emplois d’ici à 2027.
Le courtier en cryptoactifs s’apprête, le 19 mai prochain, à rejoindre l’indice phare des actions américaines. Il grille la politesse à MicroStrategy, gros investisseur en bitcoins dont le nom circule régulièrement pour intégrer l’indice américain.
L’opérateur de maisons de retraite reprend de l’altitude en Bourse alors que s’améliore son taux d’occupation, synonyme d’un retour de la croissance de ses revenus et de futurs meilleurs résultats.
En dépit d’une activité record de son pôle CIB, la banque dirigée par Jean-Laurent Bonnafé a vu son résultat net s’éroder de 4,9% au premier trimestre, à 2,95 milliards d’euros. En cause, le repli de la rentabilité de ses activités de location automobile.
La banque autrichienne a démenti avoir mis sur pause le processus de cession de son activité en Russie après des informations de presse affirmant le contraire.
L’histoire regorge de tentatives d’entreprises – couronnées de succès ou pas - de s’émanciper de leur métier d’origine. Pour certaines, la mutation est telle que leur activité de départ se perd alors dans l’histoire. Aujourd’hui encore, plusieurs groupes, y compris au sein du CAC 40, déploient une telle approche.
De la construction aux concessions en passant par les électrons, le groupe français, qui s'apprête à changer de directeur général, s’est forgé au fil des ans un solide savoir-faire pour le développement de nouvelles activités. Un savoir-faire qui va désormais bien au-delà des autoroutes et des aéroports.