Nos articles d’actualités et d’analyse sur l’allocation des investisseurs par grandes classes d’actifs - actions, obligations, crédit, actifs réels, immobilier.
En quelques jours, les investisseurs sur les emprunts d’Etat de la zone euro ont perdu plus que le portage de ces obligations. Un nouveau choc sur les marchés obligataires qui restent très volatils. Les actions et le crédit en profitent, avec l’euro.
Entre menaces de tarifs, chute des grandes capitalisations de la technologie et données macroéconomiques décevantes aux Etats-Unis, les actions européennes poursuivent leur hausse. Les investisseurs cherchent un refuge dans les emprunts d’Etat.
Le Panel Allocation consacre toujours plus de la moitié de son portefeuille aux actifs risqués. Cependant, près de la moitié des répondants ont réduit leur exposition aux actions.
Les menaces de tarifs douaniers de Donald Trump, les craintes sur la croissance américaine et les interrogations sur les valorisations de la tech font trembler les marchés.
Ces deux événements majeurs ont redessiné l’économie mondiale et plongé les marchés dans un nouveau régime de taux plus élevés. Actions et obligations ont connu des fortunes diverses.
Les secteurs dont le ratio de cours sur bénéfices est inférieur à celui du marché présentent une décote par rapport aux standards historiques. C'est le cas des petites valeurs et du secteur Value.
Gregor MA Hirt, global chief investment officer multi asset chez Allianz GI explique dans cette tribune qu'en ce début d'année, il est naturel pour les investisseurs de faire le point sur leurs portefeuilles. Ils doivent maintenant examiner si les allocations qui ont fonctionné pour eux en 2024 sont toujours appropriées pour l'année à venir.
Khazanah Nasional veut corriger le tir après une baisse de ses profits en 2024. L’investisseur va également chercher à se positionner intelligemment au milieu de la guerre douanière entre les Etats-Unis et la Chine.
Le Panel Allocation consacre plus de 50% de son portefeuille aux actions pour le troisième mois consécutif. Les gérants s’éloignent progressivement de l’obligataire.
L’impact de la géopolitique sur certaines classes d’actifs et sur la construction de portefeuille conduit les gérants à multiplier les sources d’information. En interne comme en externe.
La fondation caritative britannique a fait fructifier les dividendes de l’entreprise pharmaceutique Wellcome et a depuis mis en place une gestion d’actifs diversifiée. La valeur de son portefeuille a crû en moyenne de 11% par an depuis 10 ans. Il vaut aujourd’hui 37,6 milliards de livres.