Outre un recul du PIB allemand de 0,1% pour le deuxième trimestre, l’indice de confiance des consommateurs publié par GFK est en forte baisse au mois d’août.
Le gouvernement non reconnu qui contrôle l’Est de la Libye va stopper la production de pétrole notamment en raison du conflit né autour de la direction de la banque centrale. La tendance générale plutôt baissière n’est pas forcément stoppée pour autant.
Après les Etats-Unis et l’Union européenne, Ottawa choisit d’imposer des droits de douane – fixés à 100 % - sur la filière électrique. Les surtaxes sont également prévues sur l’acier et l’aluminium.
La banque centrale chinoise a entamé un petit changement stratégique en privilégiant ses facilités à 7 jours plutôt qu’à 1 an. Cette pause dans l’assouplissement monétaire renforce le yuan face au dollar.
Les gérants de patrimoine allouent de plus en plus de capitaux à des actifs privés. Nous examinons les raisons pour lesquelles ils sont si nombreux à le faire, et plus particulièrement pourquoi ils le font maintenant.
Le moment est venu pour le président de la Fed, qui s’exprimait au symposium de Jackson Hole, de baisser les taux et de se focaliser sur l’emploi alors que l’inflation est proche de sa cible. Les marchés apprécient.
L’indice S&P 500 a quasiment effacé ses pertes de fin juillet-début août, stimulé notamment par le discours accommodant de Jerome Powell. Le rallye est plus diffus avec un indice équipondéré déjà au sommet.
La saison des résultats du deuxième trimestre a été moyennement favorable avec une révision en baisse du consensus, une faiblesse de l’Europe et des déceptions durement sanctionnées.
Le gouverneur de la Banque du Japon s’est montré prudent à court terme devant le Parlement mais a affirmé qu’il poursuivrait les hausses des taux tant que les données, comme l’inflation, sont en ligne avec ses attentes.
Le billet vert a atteint un plus bas depuis décembre 2023 quand le marché prévoyait six baisses. Les investisseurs attendent maintenant des indications de Jerome Powell à Jackson Hole vendredi.
Les cours du brut sont affectés par la baisse anticipée de la demande mondiale, du fait du ralentissement économique. De quoi occulter les tensions géopolitiques.
Les salaires négociés ont progressé de 3,55% contre 4,74% trois mois plus tôt, renforçant la probabilité d’une baisse de taux de la BCE en septembre, d’autant que ce ralentissement devrait se poursuivre.
L’activité dans la zone euro a accéléré en août, stimulée par le secteur des services, principalement en France avec l’effet JO. En réalité, l’économie reste faible, notamment le secteur manufacturier.
La forte révision en baisse, quasi historique, des données du marché du travail aux Etats-Unis a augmenté les anticipations d’une baisse de taux d’un demi-point en septembre.
Les emprunts publics ont de nouveau augmenté plus que prévu en juillet, réduisant davantage les marges de manœuvre budgétaires de la nouvelle chancelière de l'Echiquier, Rachel Reeves. Elle a déjà prévenu que des hausses d’impôts financeront l’augmentation des dépenses dans son premier budget fin octobre.
Les deux candidats partagent certaines idées comme la fermeté face à la Chine, la lutte contre l’inflation ou la défense des entreprises américaines mais pas l’approche économique ni les recettes. Le programme de Donald Trump est plus inflationniste. Celui de Kamala Harris, qui sera désignée cette semaine comme candidate démocrate, est dans la continuité de l'administration Biden.
L’Union européenne a dévoilé mardi le barème recalculé des droits de douane qu’elle entend appliquer sur les véhicules électriques fabriqués en Chine. Tesla voit sa facture s’alléger.
Les prix ont progressé un peu plus vite en juillet en raison d’une hausse dans l’énergie tandis qu’ils sont restés stables hors éléments volatils. Le marché anticipe deux baisses de taux d’ici à la fin de l’année.
Kaisa est parvenue à un compromis avec une partie de ses créanciers pour restructurer sa dette en dollar. Pékin continue de chercher des solutions pour sortir de la crise immobilière.
Le marché s’est repris aussi vite qu’il avait chuté. Il intègre à nouveau dans ses valorisations le scénario d’un atterrissage en douceur. Et n’est pas prêt pour d’autres mauvaises nouvelles économiques.
Le métal jaune bénéficie du contexte géopolitique et de la perspective d’une baisse des taux de la Fed, avec un dollar plus faible, pour se maintenir à un niveau record.
Des statistiques peu rassurantes - parmi lesquelles celles de l’emploi américain, perçues comme un indicateur avancé de récession - ont fait bondir les doutes des marchés. Mais le consensus est resté sur son anticipation d’atterrissage en douceur. Etat des lieux des prévisions économiques aux Etats-Unis, en Europe, au Japon et en Chine.