L’exploitant de maisons de retraite va diviser le nombre de ses actions en circulation par 1.000 afin de sortir du statut peu gratifiant de «penny stock».
Le groupe de services informatiques en difficulté a fait un point sur ses projets de cessions et sur sa situation financière. Il a nommé un mandataire ad hoc pour l’aider à discuter avec ses créanciers. Son action plonge.
Le cimentier suisse apporte sa contribution au débat sur les atouts et mérites des détourages (spin-off). Face au projet de création d’une société totalement indépendante cotée à New York afin d'attirer des fonds américains sensibles au profil de croissance de la nouvelle entité, les investisseurs applaudissent.
En difficulté depuis de longs mois, le promoteur immobilier a perdu 20% supplémentaires en Bourse avant que son cours ne soit suspendu à la suite du verdict.
Ces activités, qui seront cotées à la Bourse de New York, pourraient être valorisées 30 milliards de dollars. En parallèle, le groupe suisse fait évoluer sa gouvernance.
A la recherche de relais de croissance, l’énergéticien lance un plan de réduction de ses effectifs dans les pays nordiques ainsi qu’en Pologne. Il lorgne sur le nucléaire nouvelle génération.
Le spécialiste des services externalisés (nettoyage, sécurité, etc.) trouve un arrangement de refinancement combinant remboursement et extension de sa dette. Le tout sans sacrifier totalement ses marges de manœuvre pour des acquisitions ciblées.
Le gérant de maisons de retraite s'apprête à boucler sa restructuration financière qui se solde par une prise de contrôle par un groupement mené par la Caisse des dépôts.
Le gouvernement italien songe désormais à placer sous administration spéciale la société ADI (ex-Ilva), contrôlée depuis 2018 par le sidérurgiste luxembourgeois.
Le PIF et GIC se partagent plus de 350 millions d’euros de titres subordonnés émis par l’entité dédiée à l’immobilier haut de gamme du développeur en difficulté. Ce dernier pourrait émettre d’autres titres similaires.
Le distributeur a besoin de plusieurs autorisations réglementaires pour mettre en œuvre sa restructuration financière. L’Europe a délivré son accord au titre du contrôle des concentrations.
Le poids des actionnaires existants tomberait à 0,3% du capital après l’opération, alors que le consortium mené par Daniel Kretinsky s’arrogerait le contrôle du distributeur stéphanois avec 53,7% des actions.
Le groupe de services numériques souffle le chaud et le froid. Il ouvre une phase de «due diligence» avec Airbus en vue de lui céder ses activités cybersécurité et big data, tout en requérant un nouveau soutien de ses partenaires bancaires pour garantir sa pérennité financière.