Toute l’actualité du secteur du numérique, ses évolutions, les grandes dynamiques à l’oeuvre, ses grandes entreprises françaises (Dassault Systèmes, Capgemini, OVH etc.) et étrangères (Microsoft, Google, Facebook, Apple, Baidu, Tencent etc.)
En collectant encore un milliard de dollars, moins d'un an après sa création, la start-up en IA créée par un ancien d’OpenAI, atteint une valorisation de plus de 30 milliards de dollars, six fois plus qu'à l'occasion de son premier tour de table.
Le groupe a révélé des comptes 2024 globalement conformes aux attentes des analystes avec un bénéfice net stable, à 1,67 milliard d'euros, mais ses objectifs pour l'exercice en cours sont sanctionnés en Bourse.
Le président chinois aurait incité les dirigeants d'Alibaba, Huawei, BYD ou encore CATL à développer leurs activités dans un contexte perturbé par les tensions avec les Etats-Unis.
Le règlement Financial Data Access (Fida) fera-t-il les frais «du choc de simplification» planifié par la Commission européenne ? Si Bruxelles n'y renonce pas, la France, à l'unisson des grands lobbys financiers, est bien décidée à torpiller ce texte.
Le spécialiste tricolore des datacenters recourt à un financement de 4 milliards de dette pour ses centres de données. A l'heure où la France met sur pied un plan d'investissement massif sur l'IA, Data4 finance sa croissance soutenue en Europe avec un pool de banques et d’investisseurs à long terme.
Le milliardaire propriétaire de Tesla, SpaceX et X s'est allié à d'autres investisseurs pour tenter de racheter l'entité à but non lucratif qui contrôle l'inventeur de ChatGPT.
Les grandes réglementations tech européennes, le DMA, le DSA, et l’IA Act, parfois d’avant-garde, qui viennent d’entrer en vigueur, pourraient être fragilisées par le duo formé par Donald Trump et Elon Musk. Ils ont derrière eux des dirigeants de groupes technologiques qui leur ont fait allégeance, pour défendre leurs intérêts dans cette Europe où ils sont sous le coup d’amendes ou d’enquêtes par Bruxelles. Mais ils ne peuvent se passer de ce vaste marché.
Même s'ils sont sous le coup d'enquêtes de la part des autorités antitrust européennes, Meta, Amazon, Alphabet et Apple restent dépendants du marché européen, qui peut représenter jusqu'à un quart de leurs revenus.
Faire émerger des géants de la tech en Europe semble toujours mission impossible, alors que les start-up peinent à y réaliser de grosses levées de fonds. Même si l’IA soulève de nouveaux espoirs, avec tickets significatifs. Mais leurs pépites, telle Mistral AI, menacent de partir outre-Atlantique pour avoir les moyens de croître.
Le fabricant de matériaux pour les semi-conducteurs est pénalisé par la dégradation de son marché et anticipe une baisse de ses ventes comprise entre 5% et 10% pour son exercice 2024-2025.
Le groupe a publié des résultats annuels en ligne avec les attentes et vise une croissance de ses ventes comprise entre 6% et 8% pour l'exercice en cours.
Les deux géants de la technologie ont publié des comptes trimestriels de bonne tenue mais certains points, notamment chez Microsoft, font tiquer les investisseurs.
A l'occasion de la présentation des résultats 2024 conformes aux attentes, le spécialiste des semi-conducteurs a prévenu qu'il anticipait une baisse de son chiffre d'affaires de plus de 20% au premier trimestre.
ASML a dévoilé un bénéfice net annuel en baisse à 7,6 milliards d’euros, mais les commandes vont bon train se situant bien au-delà des attentes. Le PDG du fournisseur néerlandais d'équipements de fabrication de semi-conducteurs affirme que l'IA reste le moteur de la croissance de l'industrie.