Inflation
Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
Les coûts de l’énergie ont progressé de +2,9% sur le mois. La bonne nouvelle vient de l’inflation sous-jacente et de l’inflation des services, qui ont diminué de respectivement -1% et -0,2% en janvier.
Le cours à Rotterdam du contrat TTF à un mois a bondi de plus de 10% la semaine passée, touchant un plus haut de deux ans. Les stocks ont fortement diminué et le marché parie sur des prix élevés dans les prochains mois. Un risque pour l’inflation.
Sur un mois, la hausse des prix a atteint 0,3%. A 2,8% sur un an, l'inflation de base est légèrement inférieure aux attentes des économistes.
La hausse des prix dans l'Hexagone est ressortie à 1,4% selon l'Insee et à 1,8% selon l'indice harmonisé permettant une comparaison européenne.
La Banque centrale européenne a ramené son taux de rémunération des dépôts à 2,75% et celui des opérations de refinancement à 2,9%.
Les marchés ont intégré beaucoup d’annonces de Donald Trump depuis novembre, au point de croire que la banque centrale américaine pourrait ne décider que d’une diminution de taux de 25 pb en septembre 2025. La chute des marchés d’actions lundi a fait remonter les probabilités pour deux baisses de taux.
Les marchés se sont laissé impressionner par les risques liés à l’investiture de Donald Trump et valorisent une baisse de taux de moins que fin décembre au premier semestre. L’institution, qui les réduira à nouveau de 25 pb jeudi, a le temps de voir venir.
Sur les quatre promesses politiques du candidat, la mesure la plus rapide devrait porter sur les tarifs douaniers. Mais rien n’assure qu’elle soit aussi forte qu’annoncée. Ni aussi inflationniste.
Le fondateur d’Etsa Patrimoine s’est exprimé sur les classes d’actifs qu’il privilégiera en ce début d’année alors que les marchés seront particulièrement rythmés par les premiers jours de Donald Trump à la Maison Blanche. Le conseiller entend également continuer de profiter de l’aubaine des fonds euros, qui ont commencé à publier leurs résultats.
La hausse des prix aux Etats-Unis a accéléré en décembre, à 2,9%, mais elle est conforme aux attentes et l’inflation de base est même légèrement inférieure aux prévisions. Les taux souverains baissent et les actions rebondissent.
L’indice des prix à la consommation a légèrement ralenti en décembre alors que le marché s’attendait à un chiffre stable, offrant la possibilité à la Banque d’Angleterre de baisser ses taux.
Les économistes s'attendaient à une hausse des prix légèrement supérieure, à 2,6%. L'inflation de base a progressé de 3,2%.
La nouvelle de sanctions renforcées des Etats-Unis contre le pétrole russe tombe mal, au moment où Donald Trump veut annoncer des mesures inflationnistes, qui font monter le dollar et les taux. Mais l’hypothèse de voir perdurer dans le temps ces choix politiques ainsi que les cours du dollar et les taux élevés apparaît difficile à envisager.
L’Agefi propose une synthèse des perspectives macroéconomiques présentées par les principales banques d’investissement. La croissance américaine fait moins débat que les éventuelles baisses de taux de la Fed, conditionnées par les prochaines mesures de l’administration Trump. Malgré l’incertitude encore élevée, les prévisionnistes convergent pour estimer que les mesures américaines seront moins fortes que redouté.
Le chef économiste de Groupama Asset Management décrit ses prévisions pour 2025, et sa vision du monde de l’investissement post-Covid.
La hausse des prix, tirée par les services et l’énergie, a atteint 2,4% en décembre. Une progression conforme aux attentes des économistes qui n'a pas perturbé les rendements souverains européens.
L'indice harmonisé qui permet une comparaison à l'échelle européenne a légèrement accéléré en décembre, à 1,8%.
L’institution présidée par Christine Lagarde entre dans une période décisive. Certains estiment qu’elle est la seule à pouvoir soutenir la relance de l’économie en zone euro. Les gouverneurs plus restrictifs ne semblent pas de cet avis.
La publication du PIB a été revue à la baisse et fait apparaître un nouveau défi pour le gouvernement de Keir Starmer arrivé cet été.
L'inflation a progressé à 2,4% le mois dernier après 2,3% en octobre mais les économistes anticipaient une accélération plus marquée.