
« Une excellente promotion dotée d’une excellente formation académique »
Au-delà de ce constat, Alexandra Müller et Grégory Krespine, respectivement directrice adjointe de l’ingénierie patrimoniale et directeur adjoint de l’offre et responsable du conseil en investissement de Société Générale Private Banking ont relevé l’engagement et les convictions de ces jeunes talents.
Rédacteur en chef L'Agefi Patrimoine/Gestion Privée
Présents au sein de différents jurys, Alexandra Müller et Gregory Krespine qui a élaboré le cas pratique en gestion d’actifs, ont souligné la qualité de la formation des étudiants. Les deux responsables ont également pointé leurs curiosités, leurs convictions, leurs engagements, notamment dans des domaines devenus désormais incontournables dans le monde de la banque privée comme la responsabilité sociale et environnementale ou la gestion à impact.
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
Le métier de CGP se féminise
A l'occasion de la Convention annuelle de l'Anacofi le 03 avril dernier, la rédaction a recueilli l'avis de conseillère en gestion de patrimoine sur la féminisation de leur profession. -
Susanne Liepmann (FiPlus) : «Plus qu’une profession, directeur financier est une vocation»
A l’occasion de la deuxième édition de Talent for Finance, organisée par L’Agefi et Dogfinance le 1er avril à Paris, Susanne Liepmann, présidente de l’association FiPlus, a apporté un éclairage sur le métier de financier d’entreprise. Elle a notamment mis l’accent sur la diversité des missions inhérentes à la profession et la dimension humaine, omniprésente. -
Sandrine Pierrot : «Au sein du groupe La Poste, les salaires des femmes sont très légèrement supérieurs aux salaires des hommes»
Dans le cadre de notre newsletter Ambitions, nous vous proposons aujourd’hui le témoignage de Sandrine Pierrot, directrice générale de la banque de détail du groupe La Poste et directrice générale adjointe de la branche grand public et numérique depuis janvier 2024. Longévité, mobilité et parité caractérisent son parcours. -
Sophie Nordmann (France Invest) : «Il n’y a pas assez de rôles modèles dans le private equity»
Intervenant dans le cadre de Talent for Finance, premier Salon des carrières dans la finance organisé par L’Agefi et Dogfinance, qui s’est déroulé le 28 mai, Sophie Nordmann, présidente de la commission Talents et Diversité chez France Invest, et partner chez Siparex, explique pourquoi le secteur du private equity peine toujours à attirer des femmes. -
Marion Longchambon (BNP Paribas) : «Assumer sa différence est un atout pour faire carrière»
Après un début de carrière chez Areva, Marion Longchambon a rejoint BNP Paribas Personal Finance. Son conseil pour une vie professionnelle épanouie : rester soi-même. -
Géraldine Trippner (Société Générale) : « Il faut briser les clichés sur le métier de trader »
La Société Générale oeuvre pour diversifier les profils dans sa salle de marché et, notamment, démystifier ce métier auprès des femmes. Head of financing solutions dans l'activité de marché, Géraldine Trippner était l'invitée du salon Talent for finance organisé par L'Agefi et Dogfinance le 28 mai.
Sujets d'actualité

ETF à la Une

Xtrackers lance un ETF sur la défense
L’ETF de DWS cible aussi la cybersécurité et l’espace.
Les plus lus
- L’outil fiscal a un effet marginal sur l'expatriation des hauts patrimoines
- Le logement en France : une crise durable
- Le Médiateur de l’assurance alerte sur les «trous de garanties» lors des substitutions des couvertures emprunteurs
- Les ménages face au nouveau paradigme immobilier
- Les transactions dans la gestion de patrimoine dynamisent le non-coté
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Espagne-Israël : crise diplomatique après les propos de Pedro Sánchez sur « le génocide à Gaza »
Madrid - Les relations entre l’Espagne et Israël se sont très fortement tendues lundi avec le rappel de l’ambassadrice espagnole après une série d'échanges très vifs, à la suite de l’annonce par le Premier ministre Pedro Sánchez de mesures destinées à «mettre un terme au génocide à Gaza». Le socialiste Pedro Sánchez est une des voix européennes les plus critiques à l'égard des actions menées à Gaza par Israël qui, de son côté, n’avait déjà plus d’ambassadeur à Madrid depuis la reconnaissance de l'État de Palestine par le gouvernement espagnol en mai 2024. Dans «une étape supplémentaire (...) pour mettre un terme au génocide à Gaza, poursuivre ses auteurs et soutenir la population palestinienne», Pedro Sánchez a annoncé lundi une série de nouvelles mesures, notamment l’interdiction aux navires transportant du carburant pour l’armée israélienne d’accoster dans les ports espagnols. Egalement parmi ces mesures, qui seront mises en œuvre «immédiatement», une loi visant à «consolider juridiquement l’embargo sur les (ventes d’)armes à Israël, que nous appliquons déjà de facto depuis octobre 2023", a souligné le chef du gouvernement. Elles comprennent également notamment l’interdiction d’entrée sur le territoire espagnol des personnes «participant directement au génocide», l’interdiction de l’importation de produits «provenant des colonies illégales à Gaza et en Cisjordanie» et la limitation des services consulaires espagnols pour les personnes résidant dans ces colonies. «Nous savons que toutes ces mesures ne suffiront pas à arrêter l’invasion ni les crimes de guerre, mais nous espérons qu’elles contribueront à augmenter la pression» sur le gouvernement de Benjamin Netanyahu, qui compte plusieurs ministres d’extrême droite, a poursuivi le dirigeant espagnol. La réaction israélienne après ces annonces n’a pas tardé, et le ministre israélien des Affaires étrangères Gideon Saar a répliqué dans la foulée sur le réseau X, accusant le gouvernement espagnol de mener une campagne «anti-israélienne et antisémite continue» afin de «détourner l’attention de graves affaires de corruption», une référence apparente aux dossiers judiciaires dans lesquels sont accusé des proches de Pedro Sánchez. Accusations «fausses et calomnieuses» En guise de sanction, le gouvernement israélien a par ailleurs interdit l’entrée en Israël à la N.2 du gouvernement, la ministre espagnole du Travail Yolanda Díaz, et à la ministre de la Jeunesse et de l’Enfance Sira Rego, d’origine palestinienne, toutes deux membres de la plateforme de gauche radicale Sumar qui fait partie de la coalition au pouvoir avec les socialistes. Après avoir fustigé des accusations d’antisémitisme «fausses et calomnieuses» et des mesures «inacceptables» visant ses deux ministres, le gouvernement espagnol a passé une nouvelle étape en annonçant dans l’après-midi le rappel de son ambassadrice à Tel Aviv pour consultations. «Le gouvernement espagnol ne se laissera pas intimider dans sa défense de la paix, du droit international et des droits humains», avait assuré le ministère des Affaires étrangères un peu plus tôt dans un communiqué. L’attaque du Hamas du 7 octobre, qui a déclenché la guerre, a causé la mort de 1.219 personnes en Israël, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. L’offensive dévastatrice lancée en retour par Israël a causé au moins 64.300 morts à Gaza, en majorité des femmes et des enfants, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l’autorité du Hamas, mais dont les données sont jugées fiables par l’ONU. En Espagne, un pays où la cause palestinienne a toujours été populaire, en particulier à gauche et à l’extrême gauche, de nombreuses manifestations propalestiennes ont eu lieu depuis le début du conflit à Gaza. Ces derniers jours, elles ont tout particulièrement perturbé le déroulement de la Vuelta, le tour d’Espagne cycliste, auquel participe notamment l'équipe Israel-Premier Tech, une structure privée créée par le milliardaire israélo-canadien Sylvan Adams. Diego URDANETA © Agence France-Presse -
Victimes collatérales
Crise politique : la dette souffre, les actions aussi
La position relative de la France se dégrade en Europe depuis la dissolution de l'été 2024. L'instabilité politique qui prévaut depuis décourage les investisseurs -
Ça se bouscule
Immobilier : avalanche réglementaire avant le départ du gouvernement
Plusieurs décrets, arrêtés ou instructions fiscales viennent d'être publiés ou doivent l'être dans la semaine