Le géant français de l’énergie estime que la poursuite des tendances actuelles entraînerait une hausse de la consommation d’or noir jusqu’en 2035 au moins. Pour le gaz, le pic de demande ne serait pas atteint avant 2040.
La surface de notre planète est recouverte d’eau à 71 %, et il semble donc peu probable que la pénurie en eau potable puisse être une préoccupation. Pourtant, seulement 1 % de cette eau est potable et accessible1 et la pénurie de l’eau constitue désormais un enjeu majeur.
Le réajustement à la hausse des taux et des marchés actions hésitants face à une saison de résultats mitigés ont pesé sur la tendance. L’or bat des records.
La peste porcine en Chine et en Europe et les contraintes sanitaires qui en découlent ne font pas monter les cours car la production continue à croître et le prix des matières premières qui constituent l’alimentation des porcs est orienté à la baisse.
Malgré des perspectives légèrement moins bonnes sur les spreads à court terme, les gérants interrogés par L'Agefi sont plus nombreux à surpondérer la classe d’actifs dans leurs portefeuilles.
L’élection du 5 novembre aura des répercussions majeures sur le monde. Une victoire de Kamala Harris avec un Congrès divisé devrait mener à une continuité de la politique économique actuelle des Etats-Unis. Celle de Donald Trump pourrait entraîner d’importantes variations.
Les sociétés interrogées par L'Agefi consacrent toujours la moitié de leur portefeuille aux actions, mais deviennent neutres sur la classe d'actifs. Le désamour pour le cash et les actifs alternatifs se confirme.
Le Panel Actions de L'Agefi anticipe un rebond de 8% des indices européens à un an, de 6% pour le S&P 500 et de 4% pour le Nikkei. Mais le CAC 40 recule de près de 3% depuis le début de l’année, quand New-York et Tokyo ont gagné respectivement plus de 20% et près de 17% depuis début janvier.
Les prévisionnistes de L’Agefi ont eux aussi retiré une baisse de taux pour la Fed d’ici à six mois. La perspective de déficits budgétaires plus importants les amènent à relever les taux longs, également aux Etats-Unis et au Royaume-Uni désormais.
Le pays est devenu la base arrière des entreprises américaines mais le futur locataire de la Maison-Blanche, quel qu’il soit, veut profiter de la clause du traité prévoyant une réévaluation au bout de six ans pour l’amender.
Le retour du Républicain à la Maison Blanche obligerait Pékin à trouver de nouveaux débouchés internationaux pour ses produits, et à intensifier sa relance budgétaire.
Les marchés obligataires mondiaux, traditionnellement concentrés sur les politiques monétaires, scrutent désormais avec attention les situations budgétaires des Etats, l’endettement public s’étant accru pour faire face à la pandémie.
La hausse des prix hors éléments volatils comme l'alimentation et l'énergie est restée stable, à 2,7%, mais elle est légèrement supérieure aux attentes.
Coincée entre le désordre politique sur la scène nationale et l’issue incertaine de l’élection américaine, la banque centrale japonaise n’avait aucune marge de manœuvre.
Le gouvernement britannique a annoncé 40 milliards de livres de hausses d’impôts pour 2025-2026, mais aussi près de 300 milliards d’émissions totales de dette pour l'exercice fiscal en cours, afin de financer l'investissement public. Les marchés ont ajusté à la hausse leurs prévisions de taux.
La filière des data centers connaît une croissance explosive de la demande due à l'utilisation croissante de la technologie et aux changements structurels dans la façon dont les données sont consommées.
La hausse du PIB aux Etats-Unis est inférieure aux attentes des économistes malgré une nette accélération des dépenses de consommation. L'immobilier reste en berne.
L’absence d’avancée concrète des Brics sur le chantier de la gouvernance financière illustre les difficultés de ce club à dépasser sa simple opposition au «Nord global». D’autant que la tentation protectionniste ne cesse de progresser, souligne Julien Marcilly, chef économiste de Global Sovereign Advisory.
Alors que l’ancien banquier central a promu le soutien nécessaire au secteur de la titrisation, les analystes de Scope Ratings jugent que des financements complémentaires - notamment pour les PME innovantes - pourraient aussi provenir des «covered bonds».
A une semaine de la présidentielle américaine, la probabilité d'une victoire du candidat républicain contribue à porter le dollar, les actions et le niveau des taux longs. Mais dans une économie en fin de cycle avec un marché bien valorisé, rien n'est écrit d'avance pour les investisseurs.
Le carry trade avait semblé marquer le pas après les rachats massifs de positions vendeuses sur le yen cet été. Mais il a depuis repris sa marche en avant.
Le département du Trésor américain a publié ce lundi 28 octobre une règle visant à limiter et à surveiller les investissements américains en Chine dans l'intelligence artificielle, les puces informatiques et l'informatique quantique. Elle entrera en vigueur le 2 janvier.
Delphine Marchand, avocat, Knowledge Counsel et Soline Louvigny, avocat, Counsel, A&O Shearman, présentent les exigences du label applicable à partir de cette fin d'année.
Le gouvernement travailliste de Keir Starmer présente ce 30 octobre son premier budget. Il entend relancer la croissance par l’investissement, mais doit composer avec de faibles marges de manœuvre. Sa chancelière Rachel Reeves veut changer la règle budgétaire.