Après un record pour le bitcoin en décembre dernier, le marché des cryptomonnaies a corrigé pour revenir à des valorisations plus normales. En parallèle, les acteurs sont soumis à une forte pression réglementaire.
Le graphique ci-contre illustre l'évolution des conditions financières aux États-Unis depuis 1990. Cet indicateur de conditions financières, développé par la Fed, diffère des indicateurs traditionnels dans le sens où il ne mesure pas si les conditions sont strictes ou souples par rapport au passé, mais cherche plutôt à déterminer si elles freinent ou stimulent l'économie.
Les deux groupes ont, à leur tour, publié des résultats 2024 en hausse et supérieurs aux attentes. De quoi mettre la pression sur leurs concurrentes européennes.
Le fondateur d’Etsa Patrimoine s’est exprimé sur les classes d’actifs qu’il privilégiera en ce début d’année alors que les marchés seront particulièrement rythmés par les premiers jours de Donald Trump à la Maison Blanche. Le conseiller entend également continuer de profiter de l’aubaine des fonds euros, qui ont commencé à publier leurs résultats.
JPMorgan a publié ses résultats annuels les plus hauts jamais atteints, à plus de 58 milliards de dollars. Les soutiens à l’activité pour 2025 restent vigoureux pour le secteur bancaire américain.
La hausse des prix aux Etats-Unis a accéléré en décembre, à 2,9%, mais elle est conforme aux attentes et l’inflation de base est même légèrement inférieure aux prévisions. Les taux souverains baissent et les actions rebondissent.
Sur une centaine de transactions assujeties par leur montant à l'examen des autorités de la concurrence, le gérant aurait dissimulé ou altéré des pièces dans au moins 16 deals - et parfois omis complètement de s'y soumettre.
La nouvelle de sanctions renforcées des Etats-Unis contre le pétrole russe tombe mal, au moment où Donald Trump veut annoncer des mesures inflationnistes, qui font monter le dollar et les taux. Mais l’hypothèse de voir perdurer dans le temps ces choix politiques ainsi que les cours du dollar et les taux élevés apparaît difficile à envisager.
La Maison-Blanche a annoncé une série de règles visant à limiter les exportations de technologies liées à l’intelligence artificielle et s’attire le courroux de Nvidia.
L'exceptionnalisme américain en termes de croissance économique suscite bien des questions, relève Michala Marcussen, chef économiste du groupe Société Générale. Ce mouvement, déstabilisant pour plusieurs grandes économies, y compris la zone euro, n'est pourtant pas durable car plusieurs de ses moteurs sont susceptibles de baisser en régime. Au risque d'un atterrissage brutal.
Les Etats-Unis ont annoncé de nouvelles mesures pour réduire la capacité du Kremlin à tirer des revenus de la vente d’or noir, afin d’inciter le pays à stopper sa guerre en Ukraine.
Cette bonne dynamique n'est pas de nature à inciter la banque centrale américaine à réduire ses taux. Les rendements des obligations souveraines grimpent et les Bourses chutent.
L’Agefi propose une synthèse des perspectives macroéconomiques présentées par les principales banques d’investissement. La croissance américaine fait moins débat que les éventuelles baisses de taux de la Fed, conditionnées par les prochaines mesures de l’administration Trump. Malgré l’incertitude encore élevée, les prévisionnistes convergent pour estimer que les mesures américaines seront moins fortes que redouté.
Les feux continuent à détruire une partie de la ville californienne, forçant des dizaines de milliers de personnes à fuir leur habitation. Avec des dommages supérieurs à 50 milliards, les pertes assurées grimperaient à environ 20 milliards de dollars selon JPMorgan.
Les deux groupes accusent le coup en Bourse. L'armateur COSCO et deux filiales du pétrolier CNOOC sont également concernés par cette liste comptant 134 entreprises.