Les gestionnaires d'actifs français établis physiquement outre-Atlantique se font rares mais l'aventure américaine vaut le coup d'être tentée selon eux. Retour d'expérience.
La nomination de Robert Kennedy Jr, vaccinosceptique revendiqué, comme secrétaire de la santé pénalise les grands groupes pharmaceutiques cotés. Au-delà des vaccins, les investisseurs s’inquiètent d’un plafonnement des prix des médicaments et d’un bouleversement des instances de régulation, comme la FDA.
Le billet vert a retrouvé cette semaine ses plus hauts depuis juin, tandis que la monnaie unique est au plus bas depuis octobre 2023. La politique de Donald Trump et ses impacts en zone euro soutiennent la tendance.
Les importateurs américains pourraient anticiper leurs achats. Les tarifs du transport de conteneurs, qui sont déjà à des niveaux élevés en raison de la crise en mer Rouge et des grèves dans certains ports américains, risquent d’augmenter.
La baisse des Bourses européennes post-élections américaines illustre les doutes sur la croissance au sein de l’Union européenne. Toutefois, elle n’aurait rien à gagner d'une fuite en avant interventionniste et protectionniste, plaide le chef économiste d’Axa.
Le milliardaire devrait pouvoir garder la direction de ses entreprises. Il co-dirigera un nouveau département qui fonctionnerait en dehors des limites du gouvernement.
La consultante en stratégie de gestion chez Hugau Gestion, également membre de la National Association for Business Economics (Nabe) aux Etats-Unis, réagit aux élections américaines et analyse la position du président de la Fed.
L’élection de Donald Trump aura sans doute des effets sur l’économie américaine en 2025-2026, mais la banque centrale se donne le temps de les analyser.
Ni la nette victoire de Donald Trump pour un nouveau bail de quatre ans à la Maison-Blanche, ni la perspective d'une politique économique perçue comme plus inflationniste n'ont conduit la banque centrale américaine à infléchir son cap. Son principal taux directeur est abaissé à 4,75%.
Le Congrès des Etats-Unis est un parlement bicaméral, où le Sénat dispose globalement des mêmes pouvoirs législatifs que la Chambre, à ceci près que certains votes peuvent nécessiter plutôt 60 que 51 voix sur 100.
Wall Street, et notamment les valeurs moyennes américaines, bondissent après la victoire des républicains. Mais tous les secteurs ne sont pas gagnants. L’Europe et l’Asie sont dans la ligne de mire.
Les deux banques centrales devront gérer avec doigté les effets du programme économique inflationniste de Donald Trump, si celui-ci applique ses promesses. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
De nombreuses classes d’actifs profitent du résultat des élections américaines qui donnent la présidence et le Sénat au camp républicain. Les actions des petites capitalisations américaines sont particulièrement à la fête.
Le candidat républicain va retrouver la Maison-Blanche au terme d'un scrutin qui n'a pas laissé de place au suspense. Le camp républicain reprend aussi le Sénat. Un come-back lourd de conséquences.
Trois économistes de la Réserve fédérale constatent une moindre participation des ménages à faible revenu à la croissance des dépenses de consommation entre mi-2021 et mi-2023 aux Etats-Unis.
Le résultat des élections américaines pourrait ne pas être publié immédiatement. En cas d’égalité, la Constitution dispose d’outils pour départager les candidats. Si le perdant ne reconnaît pas sa défaite, dans les heures ou les jours qui suivent le vote, les marchés ont prouvé en 2020 qu’ils pouvaient garder leur calme.
L’indice DXY du billet vert face à un panier de devises a enregistré lundi son plus fort recul depuis août. Et les sondages redonnant des chances à la candidate démocrate Kamala Harris ont accru la volatilité qui devrait rester élevée sur plusieurs classes d’actifs.