Après des chiffres de l'emploi étonnamment bons, l'évolution de l'inflation sera suivie avec attention. Les banques américaines JPMorgan et Wells Fargo publieront également leurs résultats trimestriels.
Les Etats-Unis ont créé nettement plus de postes que prévu en septembre et le taux de chômage est plus faible qu'anticipé. La perspective de voir la Fed baisser ses taux de 50 points de base en novembre s'éloigne.
Après avoir envisagé d'acquérir un spécialiste américain de la location et de l'entretien d'uniformes, le groupe français a finalement préféré s'en tenir à sa discipline financière.
Les salariés auraient obtenu une augmentation de rémunération de 62% sur six ans. La grève, redoutée depuis de nombreuses semaines, n'aura finalement duré que trois jours.
Après l'échec des négociations, les salariés des ports de la côte Est et du Golfe du Mexique arrêtent le travail, interrompant les flux d'une large partie du transport maritime américain.
Plusieurs indicateurs économiques seront regardés de près par les banques centrales européenne et américaine. TotalEnergies organisera aussi sa traditionnelle journée investisseurs de l'automne.
Le principal syndicat de dockers menace d’arrêter le travail le 1er octobre faute d’entente sur des revalorisations salariales, alors que le précédent accord est caduc. Si le conflit dure, cela pourra avoir des conséquences majeures aux Etats-Unis, sur l’économie et la présidentielle.
L'endettement mondial a atteint un nouveau pic de 312.000 milliards de dollars fin juin, selon l’IIF. La dette publique continue d’augmenter, et les analystes craignent une explosion de celle-ci en raison des besoins créés par la transition énergétique.
La nouvelle plateforme FMX Futures doit notamment venir défier le CME sur les futures de taux américains. De quoi animer un débat politico-technique puisque la compensation sera effectuée par LCH à Londres.
Les dépenses et les revenus des ménages américains, qui ont pour le moment bien résisté, seront scrutés par les investisseurs en fin de semaine alors que la Fed a déclaré lors de sa dernière réunion que le risque d'une récession était faible.
La Fed est parvenue à baisser fortement ses taux tout en maintenant, avec le discours de son président, un équilibre sur les marchés financiers. Même si des questions demeurent sur les perspectives du marché de l'emploi américain, et donc sur le rythme des prochaines baisses de taux.
Même si, en l’absence de licenciements massifs, les taux de chômage n’ont pas encore redécollé, les taux liés aux emplois vacants ont en revanche chuté presqu’autant aux Etats-Unis qu’en Europe avec le ralentissement économique.
La banque centrale américaine a choisi d'effectuer un mouvement significatif pour marquer le début de son cycle d'assouplissement monétaire. Le soutien de la croissance l'a emporté face aux craintes sur l'inflation.
Si une détente monétaire est évidente, son ampleur, de 25 ou 50 points de base, fait l’objet de débats autant sur les marchés qu’en interne, au sein d’un Comité de politique monétaire déterminé à éviter la récession.
Deux articles relancent l’hypothèse d’une baisse de 50 points de base du taux des Fed funds dès mercredi prochain. Les rendements des Treasuries ainsi que le dollar accentuent leur baisse.
L’indice des prix à la production est ressorti à un niveau plus élevé qu’attendu. Cela confirme la probabilité d'une baisse des taux de la Réserve fédérale de seulement 25 points de base le 18 septembre prochain.