Des informations de presse ont fait état d'une volonté du nouveau président américain de restreindre les augmentations de taxes douanières. Malgré le démenti de Donald Trump, les marchés actions progressent.
Invoquant des raisons de sécurité nationale, le président américain a décidé d'interdire le rachat d'US Steel par Nippon Steel pour 14,9 milliards de dollars. Il envoie aussi un signal aux investisseurs étrangers qui souhaiteraient mettre la main sur une grande entreprise américaine.
Si la paralysie de l’administration au-delà du 20 décembre a été repoussée jusqu’au 14 mars, le vote au Congrès n’a pas traité le problème du plafond de la dette, dont la suspension prend fin au 31 décembre.
Des acteurs du private equity prennent l'initiative d'exclure les capitaux en provenance de pays considérés comme des adversaires stratégiques des Etats-Unis, Chine en tête.
Le président élu a déclaré que si l’Europe n’augmentait pas ses importations de gaz et de pétrole américains, cela aurait des répercussions sur les droits de douane.
La banque centrale américaine a réduit son loyer de l'argent de 25 points de base, le ramenant dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,5%. Son rythme de baisse pourrait ralentir en 2025.
L'entreprise d'analyse de données et d'intelligence artificielle lève 10 milliards de dollars supplémentaires auprès de plusieurs investisseurs menés par Thrive Capital.
Les investisseurs anticipent une troisième baisse consécutive des taux de la banque centrale américaine cette semaine. Mais les décideurs se tiennent également prêts à ralentir voire à arrêter leur assouplissement avec l’arrivée au pouvoir de l’administration Trump.
L'indice de base, qui exclut les prix volatils de l'alimentation et de l'énergie, a grimpé de 3,3%. Ces hausses étaient anticipées par les économistes.
Après l’euphorie et les craintes suscitées par la victoire du candidat républicain, les marchés semblent plus attentistes que jamais. Les nominations aux postes clés donnent des pistes sur la future politique américaine.
Les 227.000 créations de postes mensuelles sont compensées par une hausse du taux de chômage, qui doit mener à une nouvelle baisse de taux le 18 décembre.
Le président élu des Etats-Unis s'attaque d'abord au Canada, au Mexique et à la Chine, épargnant le Vieux Continent. Les investisseurs craignent toutefois des répercussions sur certains secteurs européens.
Les traitements anti-obésité du groupe danois et de son concurrent américain Eli Lilly pourraient être remboursés dans le cadre des couvertures santé aux Etats-Unis alors que des résultats cliniques d'Amgen se sont révélés mitigés.
Les marchés d’actions européens sont orientés à la hausse et les taux des emprunts d’Etat américains baissent. Les investisseurs sont rassurés du choix de la modération à ce poste hautement stratégique.