L'assureur se juge peu exposé aux risques douaniers et aux turbulences sur les marchés. Ses revenus ont grimpé de 7% en données comparables au premier trimestre.
Le royaume a impulsé un changement à 180 degrés de la stratégie de production de l'Opep+ en l'augmentant fortement. En conséquence, les prix du brut continuent de baisser, ce qui pourrait contrarier les velléités d'expansion de la production aux Etats-Unis.
Microsoft, Apple, Amazon et Meta ont publié des résultats meilleurs qu'attendu. Toutes ces sociétés, appartenant pourtant au même secteur, n'ont pas la même capacité à rassurer sur leurs perspectives pour cette année.
Le ministère du Commerce chinois a indiqué que son pays avait été approché par les Américains en vue de débuter des discussions. Une perspective de désescalade sur le front commercial qui profite aux marchés.
Le fabricant de l'iPhone s'apprête à ouvrir en baisse à Wall Street après la publication de chiffres trimestriels solides. La guerre commerciale pourrait lui couter 900 millions de dollars au deuxième trimestre.
Les premiers résultats trimestriels publiés par le secteur confirment le décrochage de la banque de détail, au profit de la banque d’investissement et de la gestion d’actifs notamment. Celle qui était autrefois le pilier principal du modèle de banque universelle doit trouver de nouvelles sources de revenus quitte à se transformer à marche forcée.
La publication mercredi de la croissance trimestrielle aux Etats-Unis devrait afficher un ralentissement, mais ne présage pas vraiment de la suite, pleine d’incertitudes. Un retour rapide à la situation d’avant février 2025 semble cependant difficile.
La banque britannique a enregistré une hausse de ses profits hors éléments exceptionnels grâce notamment à une bonne performance dans la gestion de fortune. Son action en profite.
Mediobanca pourrait troquer sa participation dans Generali contre 100% de la banque privée de l'assureur, Banca Generali. Libéré de son premier actionnaire, l’assureur pourrait alors éveiller des convoitises dans un marché déjà très animé.
Le mot d’ordre «sell-America» est dans toutes les bouches, mais les investisseurs n'ont opéré jusqu’à présent que des réajustements plus ou moins mineurs liés à leur surpondération de longue date sur les actifs américains. Des changements plus structurels seraient plus lents, ne serait-ce que pour des questions de liquidité.
En dépit d’une activité record de son pôle CIB, la banque dirigée par Jean-Laurent Bonnafé a vu son résultat net s’éroder de 4,9% au premier trimestre, à 2,95 milliards d’euros. En cause, le repli de la rentabilité de ses activités de location automobile.
Le président Donald Trump a annoncé coup sur coup qu’il ne renverrait pas le président de la Fed, après avoir laissé entendre le contraire, et qu’il voulait une désescalade sur les droits de douane avec la Chine. Pas suffisant toutefois pour rétablir une pleine confiance internationale vis-à-vis des Etats-Unis et des actifs américains.
Le président américain a annoncé qu’il ne renverrait pas le président de la Fed après avoir laissé entendre le contraire. Une désescalade semble également se profiler avec la Chine.
L'institution révise sévèrement sa projection de croissance. Les droits de douane de Donald Trump devraient coûter un point de croissance aux Etats-Unis, et un demi-point au niveau mondial.
Donald Trump s’en est pris à la politique monétaire de la banque centrale américaine et son administration envisagerait de renvoyer son président, Jerome Powell. L’or a franchi pour la première fois le cap symbolique des 3.500 dollars l’once, avant de refluer.
Alors que les établissements bancaires américains ont fait sensation au premier trimestre 2025 grâce aux revenus des activités de trading, les résultats des groupes français sont d’autant plus attendus. Les perspectives s’annoncent intéressantes. BNP Paribas ouvre le bal des trimestriels dès jeudi.
L'ancienne patronne de la banque commerciale en France de BNP Paribas prendra la direction générale de la troisième banque néerlandaise le 23 avril prochain. Baisse des coûts, intégration de l'allemand HAL et consolidation bancaire européenne : les défis à relever ne manquent pas pour Marguerite Bérard.
L’histoire regorge de tentatives d’entreprises – couronnées de succès ou pas - de s’émanciper de leur métier d’origine. Pour certaines, la mutation est telle que leur activité de départ se perd alors dans l’histoire. Aujourd’hui encore, plusieurs groupes, y compris au sein du CAC 40, déploient une telle approche.
La Banque centrale européenne a annoncé la diminution de ses taux de 0,25 point de pourcentage. Le taux de rémunération des dépôts passera notamment de 2,5% à 2,25%.
Le géant du luxe a enregistré une nouvelle hausse de ses ventes au premier trimestre en dépit d'un contexte compliqué pour le secteur et il confirme ses ambitions de moyen terme. Il déçoit toutefois légèrement les attentes et recule en Bourse.