L’actualité du marché de l’assurance au sens large, de l’assurance de personnes à l’assurance vie en passant par l’épargne retraite et par les évolutions en cours entre grands et nouveaux acteurs.
Les banques garderont 10% des crédits dans leur bilan. Les 90% restants seront cédés à un fonds qui aura collecté les sommes auprès des compagnies d’assurance vie notamment.
C’était l’un des objectifs de Guillaume Autier, le président exécutif de Meilleurtaux : accroître la présence du courtier en crédit et en assurance sur le métier de l’épargne. Le groupe annonce jeudi matin l’acquisition de mes-placements.fr, un site de vente en ligne de produits d’épargne (assurance vie, épargne retraite, défiscalisation et SCPI), créé en 1999 et toujours dirigé par Eric Girault. Les modalités financières de l’opération ne sont pas précisées.
L’assureur britannique Aviva a annoncé mardi matin la vente de ses activités en France au groupe Aéma, issu du rapprochement de la Macif et d’Aésio. Le montant de l’opération est de 3,2 milliards d’euros. Aviva était conseillé par JPMorgan et Rothschild.
Pour que la désignation de la clause bénéficiaire soit optimale et pérenne dans le temps il est important de prendre en considération trois éléments clefs...
C’est désormais devenu un petit rituel. Depuis quelques années, on assiste inlassablement, en début d’année, à une critique en règle de l’assurance-vie. Comme des idoles que l’on brûle après les avoir trop adorées, les fonds en euros sont cloués au pilori. En 2020, les observateurs s’en sont donné à cœur joie, à mesure que la décollecte s’accélérait sous les effets de la crise sanitaire. « Dans un contexte de crise sanitaire doublée d’une crise économique, les ménages éprouvent, à juste titre, les pires difficultés pour se projeter et donc s’engager sur le long terme », nous a expliqué le Cercle de l’Epargne, en novembre 2020, pour justifier près de 9 mois de décollecte et 7 milliards d’épargne envolés.
Chaque début d’année s’accompagne de la traditionnelle période d’annonce des taux de rendement des fonds euros des compagnies d’assurance vie. Même si peu de chiffres ont encore été révélés, une grande majorité d’entre eux, devraient être en baisse par rapport à l’an dernier. Pour l’épargnant, même si cette découverte ne sera pas des plus agréables, c’est aussi une réelle opportunité qui lui est offerte pour s’interroger et réfléchir à son allocation patrimoniale.
Après avoir annoncé le taux du fonds en euros de l'association en légère baisse, son président Gérard Beckerman s'est montré offensif dans la sauvegarde du produit. Au sujet de la cession d'Aviva, il a minimisé le rôle de l'Afer dans le choix du repreneur.
La valse des taux ralentit peu à peu en cette mi-février. Dernier en date, l'assureur Prévoir annonce deux taux pour ses fonds en euros. Un de 1,60 % et un autre de 1,20 %. Des niveaux tout à fait corrects par rapport à la moyenne, pour le groupe indépendant, qui a su limiter la baisse par rapport aux taux servis en 2019.
Tous les moyens sont bons pour soutenir les ménages. Et si cela peut avoir un effet marketing positif, c’est encore mieux. Les Assurances du Crédit Mutuel (ACM) ont annoncé qu’elles maintiendraient en 2020 les taux de leurs fonds euros servis en 2019, à savoir un rendement compris entre 1 et 1,65 % « en dépit des conditions de marché défavorables ».
Lors des assises de l’Afer, le sous-directeur assurance à la direction générale du Trésor a tiré un bilan positif du nouveau produit retraite et a conforté la fiscalité de l’assurance vie.