L’association internationale des superviseurs d’assurance s’est prononcée sur la protection de la solvabilité des compagnies actives dans plusieurs pays.
La ministre des Finances Rachel Reeves présente une réforme qui va fusionner les actifs des régimes de retraite des collectivités locales et consolider les régimes à cotisations définies dans des mégafonds.
Une étude récente du fonds d’assurance des pensions estime qu’une consolidation aiderait à débloquer jusqu’à 200 milliards de livres pour investir dans les infrastructures non cotées.
L’Eiopa préconise aux assureurs de mettre en place un coussin de capital accru pour les actions et les obligations d'émetteurs du secteur des hydrocarbures.
Le superviseur européen lance une consultation pour le traitement des investissements en cryptoactifs dans la formule standard d’exigence en capital pour les assureurs soumis à Solvabilité 2.
La coalition publie ses attentes en matière d’évolution réglementaire pour aligner les flux financiers avec le cadre de protection contre la perte de biodiversité.
Des investisseurs institutionnels anglais et australiens interpellent le gouvernement sur les ajustements nécessaires pour leur permettre d’investir dans les infrastructures de transition.
Deux tiers des Etats membres de l’UE n’ont pas transposé dans les délais ce texte clé de la finance verte, attaqué de toutes parts. A Bruxelles, on ne doute pas que la portée de la CSRD sera affaiblie. La question est : dans quelle mesure ?
Le groupe, qui comprend de grands investisseurs institutionnels internationaux, voudrait que les multinationales américaines communiquent sur les impôts acquittés par pays.
Le gendarme financier européen souhaite mettre la taxonomie européenne au cœur des règles vertes européennes, créer une définition officielle d'investissement de transition, et inclure les données ESG dans le périmètre réglementaire.
Insurance Europe publie trois papiers de position pour soutenir ses propositions techniques de révision du cadre prudentiel européen. L’association y voit l’opportunité de débloquer des milliards d’euros de capitaux pour l’investissement.
Alors que Paris craint de perdre son attractivité, le nouveau gouvernement travailliste enchaîne les annonces pour faciliter les flux d’investissement vers la place financière britannique. L’assouplissement des règles d’introduction en Bourse déçoit toutefois certains investisseurs de long terme.
Le décret d’application de la loi de Finance est paru, précisant le cadre dans lequel les investisseurs institutionnels pourront investir, à travers des fonds, dans des prêts et obligations spécifiques.
La bataille judiciaire entre l’entreprise pétrolière et un investisseur qui avait pourtant retiré sa proposition de résolution actionnariale devrait s’arrêter.
Une quarantaine d’institutionnels et de gérants monte au créneau pour défendre le rôle de la Securities and Exchange Commission dans les litiges autour des résolutions d’actionnaires.
Les assureurs et réassureurs des Bermudes détiennent en grande partie des portefeuilles nord américains, européens et asiatiques. La réglementation prudentielle en est l'une des explications.
Plusieurs amendements seront discutés dans les prochains jours, dans la proposition de loi sur l’attractivité de la Place de Paris, pour rendre obligatoires les résolutions climat et faciliter le dépôt de résolution d’actionnaires.
L’investisseur souverain est un gros investisseur sur le marché britannique et juge que le projet ne va pas dans le sens de la protection des investisseurs.
Berlin compte sur la Bourse pour amortir la hausse des cotisations sociales des salariés et espère générer 10 milliards d'euros par an qui participeront au financement des pensions.
Le groupe d’investisseurs institutionnels engagés sur les sujets de gouvernance craint que la possible fin des deux segments du marché londonien n’affaiblisse la protection des investisseurs de long terme.