Deux articles relancent l’hypothèse d’une baisse de 50 points de base du taux des Fed funds dès mercredi prochain. Les rendements des Treasuries ainsi que le dollar accentuent leur baisse.
La hausse des prix est désormais estimée à 1,8% mais l'inflation harmonisée, qui permet une comparaison avec les autres pays européens, est confirmée à 2,2%.
Le prochain gouvernement devra trouver une formule de compromis innovante, et les alliances idoines, pour faire accepter un budget forcément insatisfaisant pour une majorité des députés.
Les marchés ont trouvé un peu de soulagement dans la nomination de Michel Barnier comme premier ministre. Les spreads obligataires ne se sont pas tellement resserrés pour autant.
Les incertitudes qui entourent l’orientation budgétaire ont depuis affecté les prévisions de croissance. Le prochain gouvernement devra gagner la confiance des consommateurs et des entreprises pour faire redémarrer la demande intérieure.
Le Conseil des gouverneurs reste bloqué par sa volonté de voir dès aujourd’hui le résultat de ses actions, qu’il sait pourtant généralement plus décalé dans le temps.
Sur les marchés actions, depuis cet été les secteurs défensifs contribuent davantage à la hausse du marché alors que les grandes capitalisations de la tech ont été malmenées.
L’indice des prix à la production est ressorti à un niveau plus élevé qu’attendu. Cela confirme la probabilité d'une baisse des taux de la Réserve fédérale de seulement 25 points de base le 18 septembre prochain.
La Banque centrale européenne a réduit d'un quart de point, comme prévu, son taux de rémunération des dépôts, alors que la prévision de croissance en zone euro a été revue à la baisse.
Le rebond de la première partie de l’année n’a pas tenu. Les investisseurs étrangers continuent de sortir de ce marché, alors que l’espoir d’une relance s’est évanoui, et les locaux perdent confiance.
La hausse des prix a ralenti en août aux Etats-Unis, mais l’inflation cœur est plus forte que prévu. La perspective de voir la banque centrale réduire ses taux de 50 points de base le 18 septembre s’éloigne.
La candidate démocrate semble avoir pris de l’avance sur son adversaire républicain Donald Trump, selon les analystes politiques, les sites de paris ainsi que les marchés. Mais la campagne ne fait que commencer.
La hausse des prix a ralenti en août aux Etats-Unis mais l’inflation cœur, qui exclut des éléments volatils, est plus forte que prévu. La perspective de voir la banque centrale réduire ses taux de 50 points de base en septembre s’éloigne.
Le PIB est resté inchangé en juillet, comme en juin, marquant un coup d’arrêt par rapport au rebond de début d’année. Mais pas de quoi inverser la tendance, ni empêcher un statu quo de la BoE en septembre.
Les économistes estiment que l’institution peut rester prudente, et garder une marge de manœuvre pour agir plus fort plus tard si nécessaire. Notamment si des facteurs exogènes comme la politique budgétaire viennent influencer la politique monétaire.
Pour accroître la capacité de financement du secteur bancaire, l’Union devrait essayer de relancer la titrisation, depuis dix ans partie intégrante du projet inachevé d’Union des marchés de capitaux (CMU).
La recherche de rendement de la part des investisseurs avant les prochaines baisses de taux de la BCE a assuré le succès de cette émission de dette long terme.
À une époque où règnent les données et des dynamiques économiques complexes, une approche quantitative peut-elle aider les investisseurs obligataires ?
La tendance sur les actions reste positive et les valorisations s’avèrent paradoxalement en deçà des standards habituels, en particulier pour le segment des petites et moyennes valeurs.
Depuis 2008, emprunter des dollars sur le marché à terme est systématiquement plus cher que de le faire directement sur le marché interbancaire américain, relève Vivien Levy-Garboua, professeur à Science Po. Un héritage de la grande crise financière de 2008.
La plus faible croissance des salaires devrait rassurer la banque centrale malgré la hausse plus importante que prévu des créations d’emplois. Les données restent peu fiables.
Les commandes sont sans doute portées par un effet de stockage alors que plusieurs pays ont annoncé une hausse de leurs droits de douane. Les importations chinoises restent pénalisées par la faiblesse de la demande intérieure.
Une grande majorité d’émetteurs du secteur ont désormais accès au marché primaire obligataire grâce à une demande forte des investisseurs, illustrée par la multiplication des émissions.
Le rapport sur la compétitivité de l’Union européenne remis par Mario Draghi à la Commission contient, en filigrane, les contours de la nouvelle Union des marchés de capitaux, indispensable à la mise en place d’un programme économique commun.