Les Etats-Unis ont créé nettement plus de postes que prévu en septembre et le taux de chômage est plus faible qu'anticipé. La perspective de voir la Fed baisser ses taux de 50 points de base en novembre s'éloigne.
La Cour de Justice de l’Union européenne a jugé que plusieurs règles de la FIFA s’appliquant au transfert de joueurs de football étaient contraires au droit de l’Union.
Dix membres de l'Union européenne ont soutenu la proposition de maintenir des tarifs douaniers pouvant aller jusqu'à 45% sur les véhicules électriques chinois. Cinq pays ont voté contre, douze se sont abstenus.
La crainte d’une riposte d’Israël à l’attaque de l’Iran fait bondir le pétrole et la volatilité des actions. Le dollar profite du double impact du risque géopolitique et des données favorables aux Etats-Unis.
Les pratiques actuelles en matière d’agriculture et d’approvisionnement alimentaire ne sont pas toujours durables et entraînent un gaspillage. Pour garantir un approvisionnement alimentaire sûr à l’avenir, la production doit devenir plus régénérative et résiliente.
Les salariés auraient obtenu une augmentation de rémunération de 62% sur six ans. La grève, redoutée depuis de nombreuses semaines, n'aura finalement duré que trois jours.
Les gouverneurs les plus accommodants fourbissent leurs arguments en faveur des baisses de taux. Au point que les plus restrictifs ont commencé à changer de ton.
Le cours du sucre pourrait devenir volatil dans les prochaines semaines, notamment à cause des incendies de septembre au Brésil qui ont ravagé les récoltes.
Les Vingt-Sept votent vendredi pour décider s’ils entérinent les droits de douane appliqués à titre provisoire par l’UE depuis juillet sur les importations de véhicules électriques produits en Chine. La Commission et Pékin négocient en parallèle une formule de compromis. Explications.
Après un rebond de la volatilité mardi, avant l’attaque d’Israël par l’Iran, les investisseurs étaient attentistes, misant sur l’absence d’escalade. Le pétrole reste l’actif le plus touché par les tensions persistantes dans la région.
Deux tiers des Etats membres de l’UE n’ont pas transposé dans les délais ce texte clé de la finance verte, attaqué de toutes parts. A Bruxelles, on ne doute pas que la portée de la CSRD sera affaiblie. La question est : dans quelle mesure ?
Matignon et Bercy devront, dans les onze prochaines semaines, concilier les dates butoirs des institutions nationales et européennes, ainsi que celles des créanciers de la France.
Dans son discours de politique générale délivré hier à l’Assemblée nationale, le Premier ministre a révélé ses pistes pour relancer le secteur. Elles alternent entre rétropédalages sur des dispositifs déjà en place et actes de souplesse pour redonner de la flexibilité aux acteurs.
La République islamique a lancé près de 200 missiles vers Israël, entraînant une forte hausse du prix du baril qui échappe toutefois à la flambée pour le moment.
Sur les marchés, plusieurs économistes estiment que la banque centrale européenne est en retard dans le cycle d’assouplissement nécessaire. Certains arguments peuvent leur donner raison.
La plupart des marchés, hormis celui du pétrole, ont été positifs le mois dernier, et clôturent un bon troisième trimestre, malgré les soubresauts de l’été.
Les AT1 ne connaissent quasiment plus de cas de «non-remboursements» anticipés à date de «call». Les émetteurs et les investisseurs semblent globalement s’en satisfaire.
Contrôle strict de ses règles budgétaires, mise en place de fonds de pension : la Suède reste dans les manuels économiques comme l’exemple type des consolidations budgétaires réussies, souligne Sylvain Broyer chez S&P Global Ratings.
Ce nouveau ralentissement des prix en septembre, sous la cible de 2% de la Banque centrale européenne, renforce le scénario d'une nouvelle baisse des taux au mois d'octobre.
Après l'échec des négociations, les salariés des ports de la côte Est et du Golfe du Mexique arrêtent le travail, interrompant les flux d'une large partie du transport maritime américain.
Claudia Sheinbaum est investie ce mardi 1er octobre à la tête du pays. Forte d’une assise politique et démocratique solide, elle va néanmoins devoir gérer les risques économiques liés aux réformes constitutionnelles, la détérioration du déficit public et les menaces de droits de douane.