Cette opération, sans conséquence sur les ratios de fonds propres du Crédit Agricole, permet au groupe d’asseoir son empreinte sur le leasing dans un pays ou les entreprises se révèlent très utilisatrices de telles solutions.
Passer par les prestataires de paiement pour toucher les entreprises et faciliter leurs paiements internationaux, c’est la stratégie de la fintech pour diffuser l'usage des stablecoins.
Le compte à rebours des comptes de cette année est déjà lancé. Le contexte macroéconomique pousse le régulateur à une plus grande exigence dans ses recommandations, notamment pour l'affacturage inversé et les clauses liées au financement.
La compagnie d’eau britannique propose à ses créanciers de souscrire à une ligne de crédit superprivilégié d’un montant maximal de 3 milliards de livres.
Le spécialiste de l’initiation de paiement compte sur le cloud de Google qui a adapté son offre aux contraintes des métiers régulés, notamment en matière de résilience opérationnelle.
Six obligations ont été émises depuis le début de la semaine sur le marché euro, dont le «green bond» inaugural d’Iliad, et AccorInvest a placé une deuxième obligation en un mois. La forte demande a permis de resserrer les conditions de ces opérations.
Le groupe britannique va rapprocher une partie de ses activités de banques commerciales et d'investissement. Pam Kaur succède à Georges Elhedery à la direction financière.
Les entreprises high yield se sont ruées cette semaine pour émettre de nouvelles obligations. Déjà neuf opérations sont annoncées, dont le premier green bond d'Iliad et le retour d'AccorInvest et de Picard, pour une année quasi record.
Lors des Assises des délais de paiement ce 17 octobre, les acteurs de la chaîne des paiements BtoB ont appelé à des mesures renforcées contre les mauvais payeurs.
Cette « réorientation » annoncée par la direction générale des finances publiques constitue une nouvelle donne importante de la réforme de la facturation.
Les émissions sur le marché primaire corporate euro sont largement sursouscrites et les prix serrés n’empêchent pas une bonne performance des obligations sur le marché secondaire, à quelques exceptions près.
La société de capital investissement, également actionnaire de pépites comme Mousline, avait racheté en 2023 l’entreprise de torréfaction, rescapée de l’empire Ohayon.