Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
La désescalade entre l’Etat hébreu et la République islamique profite aux marchés alors que le cours de l’or noir abandonne l’essentiel de ses gains des derniers jours.
Après avoir levé près de 400 millions d'euros en Bourse depuis sa création, le concepteur français du cœur artificiel craint de devoir cesser ses activités faute de trouver 3,5 millions d'euros d'ici à fin juin. La société n'a plus d'autre recours qu'un appel aux donateurs.
Les Bourses européennes sont légèrement dans le rouge et le prix du pétrole temporise après que les Etats-Unis ont annoncé avoir mené des frappes sur des sites de la République islamique.
Dans son rapport de juin sur la stabilité, l’Autorité européenne fait le point sur les multiples risques pesant sur les acteurs des assurances et des pensions.
Après leur bond depuis le début de l’année, certains estiment que les places boursières européennes vont plafonner à court terme avant les tarifs douaniers et les premiers effets des plans européens. Pour d’autres, l’histoire a changé et les actions européennes peuvent encore se revaloriser. La croissance sera clé.
Portés depuis mars par le pari boursier vers la souveraineté européenne, le fournisseur d'informatique dématérialisée et l'opérateur de satellites intègrent l'indice SBF 120 le 23 juin. Malgré un flottant rétréci pour l'un, et la perspective d'une dilution massive des actionnaires pour l'autre.
La poursuite des combats entre l'Etat hébreu et la République islamique ravive les craintes d’un conflit plus large au Moyen-Orient, avec le risque d’une flambée du pétrole. Après un rebond lundi, les marchés actions repartent dans le rouge mardi, tandis que les cours du baril de brut et de l'or progressent à nouveau.
Les frappes sur les installations nucléaires iraniennes et la riposte de Téhéran ont provoqué une nette hausse de l'or noir. Mais les investisseurs ne croient pas encore à un embrasement de nature à entraîner une flambée durable du baril et des risques sur l’économie mondiale.
Le secteur de l’énergie, du pétrole et de la défense intègrent les tensions sur les prix du baril quand les segments du tourisme et du transport subissent des dégagements.
L’incertitude commerciale incite les investisseurs à se concentrer fortement sur la résilience de leur portefeuille au cours des 18 prochains mois, selon un sondage de Schroders auprès d’institutionnels et de sélectionneurs de fonds.
Les valeurs défensives ont surperformé le marché depuis le début de l’année en Europe, sauf les pharmaceutiques, plombées par Donald Trump. Leurs valorisations, intégrant les mauvaises nouvelles, et leur profil défensif en font une cible de choix de nombreux gérants, malgré la volatilité.