La société vise une activité en hausse de 7,3% pour 2023. Le titre progresse en Bourse même si ces prévisions ont été affinées dans la fourchette basse.
L'industriel s'est néanmoins montré confiant dans sa capacité à augmenter sa marge opérationnelle alors que son chiffre d'affaires a été principalement pénalisé par les prix de l'énergie.
Si la transformation de Mannesmann et de Preussag a été rapidement menée, Siemens et ThyssenKrupp ont été confrontés à un contexte industriel plus tendu.
Si les chaebols sud-coréens et les keiretsus nippons témoignent de la vigueur de ce modèle, des remises en cause sont néanmoins à l’œuvre dans la région.
Le chimiste belge veut finaliser sa séparation en deux sociétés d'ici la fin de l'année. L'entité regroupant les activités de chimie de spécialité sera renommée Syensqo.
Privilégiant désormais la croissance organique, le fabricant italien de câbles prévoit une forte hausse de ses investissements industriels d’ici à 2027.
Le sévère avertissement du groupe ferroviaire sur la trajectoire de son flux de trésorerie disponible est lourdement sanctionné par les investisseurs. L’action a perdu plus de 37%.
Le groupe de matériel ferroviaire anticipe désormais un flux de trésorerie disponible négatif de 500 à 750 millions d’euros pour son exercice fiscal, clos à fin mars.
L’indice PMI du secteur manufacturier reste nettement inférieur à 50 en septembre. Il ressort à 39,6 en Allemagne. En France, à 44,2, il est au plus bas depuis mai 2020.
En combinant quête de récurrence et acquisition audacieuse, la société bordelaise, nouvelle pensionnaire du SBF 120, a réussi à s’affranchir du caractère cyclique de ses activités historiques.