Le gouvernement italien songe désormais à placer sous administration spéciale la société ADI (ex-Ilva), contrôlée depuis 2018 par le sidérurgiste luxembourgeois.
Face aux initiatives nippo-américaines et chinoises, les cessions d’actifs annoncées par certains groupes européens ne répondent pas au besoin de consolidation du secteur.
En acquérant la marque française de cognac auprès de l’américain Beam Suntory, le groupe italien réalise sa plus importante opération de croissance externe.
La nouvelle entreprise Syensqo, issue d'une scission du groupe belge, fait des débuts boursiers en fanfare. Les activités historiques de Solvay accusent pour leur part une lourde chute.
Face aux enjeux d’intégration de Bombarbier et d’envolée de son carnet de commandes, le groupe de matériel ferroviaire a trop tiré sur son bas de bilan sans disposer des ressources financières de long terme indispensables. Il met désormais les bouchées doubles pour y remédier, sans exclure d’aller jusqu’à une augmentation de capital. L’action déraille.
Le groupe veut réduire sa dette de 2 milliards d'euros en moins de deux ans. Plus de 500 millions d'euros de cessions d'actifs et 1.500 suppressions de postes sont au programme. L'action s'effondre de plus de 10%.
Le groupe de chimie va se séparer en deux entreprises. Le "nouveau Solvay" a affiché un chiffre d'affaires de 5,6 milliards d'euros au titre de 2022, contre 7,9 milliards pour Syensqo.
Ce plan d’aide, d’un montant global de 28 milliards d’euros, vise à réduire les prix de l’électricité pour les industries fortement consommatrices d’énergie.
Le conglomérat allemand a confirmé ses objectifs annuels et dévoilé l'état de sa réflexion concernant une réorganisation de sa structure. Des suppressions de postes sont au programme.