Le pessimisme des investisseurs américains sur l’économie française est amplifié par l’instabilité politique inédite du pays, montre le baromètre annuel AmCham-Bain.
Si l’agence de notation a maintenu la note «AA-» de l’Etat français, la perspective est abaissée de stable à négative. Un avertissement mis sur le compte de finances publiques «sous pression» et d’un soutien politique «limité» en faveur des réformes.
L'inflation française est tombée sous 1% en février. La baisse des tarifs réglementés de l'électricité a contribué à faire ralentir la hausse des prix à un rythme inédit depuis 2021.
L’activité du secteur privé en Allemagne a légèrement progressé en février, selon les données préliminaires publiées vendredi par S&P Global et Hamburg Commercial Bank (HCOB), mais a encore reculé, et de façon plus prononcée que prévu, dans l’Hexagone.
Les discussions vont prochainement s'engager à partir du constat posé par le rapport de la Cour des comptes. Selon l'orientation des débats et les premiers chiffres sur la trajectoire budgétaire de la France en 2025, le calme relatif qui prévaut aujourd'hui sur les emprunts d'Etat français pourrait s'en ressentir.
Dans son rapport remis au Premier ministre jeudi matin, la Cour des comptes dresse un état financier inquiétant du système de retraite, même s'il ne reprend pas l'idée qu'il serait encore plus important à cause du régime des fonctionnaires.
Le marché locatif n’a pas encore vraiment redémarré en janvier à Paris. Les tendances observées en 2024 laissent tout de même de la place à l’optimisme pour les grandes métropoles européennes.
Répartition et capitalisation ont chacun leurs mérites et leurs risques. Mais si bâtir un programme de capitalisation à l’échelle nationale prendrait du temps, le pays a-t-il réellement les moyens de continuer à s’en passer compte tenu de sa réalité démographique, s’interroge Vivien Levy-Garboua.
Cette deuxième syndication de l’année de l’Agence France Trésor a encore obtenu une souscription record pour cette maturité très demandée. Elle confirme une bonne tendance pour la dette souveraine française, et plus généralement européenne.
Ces derniers jours, la star française de l’intelligence artificielle a lancé une application mobile, multiplié les annonces de partenariats et promis des milliards d’euros d’investissements en région parisienne.
Le directeur général de la start-up ne se montre pas surpris par le succès du chinois DeepSeek et ne prévoit pas d'introduire en Bourse son entreprise à court terme.
Alors que le psychodrame du budget 2025 s’achève en France, les Etats européens devront emprunter encore près de 1.300 milliards cette année. Dont 700 à 800 milliards de «nouvelle» dette - hors remboursements - à absorber par les marchés avec la fin des achats de la BCE. Le plus dur, en termes de hausse des taux longs, semble cependant déjà passé.
Les contributions différentielles ou exceptionnelles sur les hauts revenus et sur les grandes entreprises ont été actées, tout en étant encadrées dans le temps.
Le patron français est recherché. Et apprécié. En moins d’un an, plusieurs dirigeants tricolores ont été nommés à la direction de grands groupes européens ou américains. L’occasion de décortiquer leurs profils et les secteurs où ils sont le plus représentés.
L'Allemagne est revenue de justesse en zone d'expansion en janvier avec un indice PMI à 50,1. Dans l'Hexagone, la contraction est moins sévère que prévu.