Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'économie chinoise, son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières.
La baisse du prix du "timbre" stimule les marchés du pays dans une séance ternie par l'effondrement boursier du promoteur immobilier à sa reprise de cotation.
Pékin est sur tous les fronts pour tenter de relancer son économie, dont son secteur immobilier, et soutenir le yuan. Or, l'espoir de ramener la confiance des investisseurs se heurte à des attentes plus exigeantes.
Etouffé par son lourd endettement et frappé par la crise immobilière, Pékin manque de solution pour relancer sa croissance. Les actifs chinois en pâtissent.
Le promoteur en difficulté depuis deux ans a demandé la protection du chapitre 15 du code des faillites américain en vue d'une restructuration de sa dette.
Le géant américain renonce à ce projet de 5,4 milliards de dollars pour des raisons réglementaires et versera une indemnité de 353 millions au groupe israélien.
Le constructeur texan réduit le prix de deux versions de son SUV Model Y et offre une subvention d’assurance sur ses véhicules Model 3 d’entrée de gamme.
La banque centrale a réduit ses taux face à de nouvelles statistiques décevantes. Cela intervient aussi après une semaine troublée sur le secteur immobilier.
Le plus important promoteur privé chinois n’a pas payé les coupons sur deux obligations en dollar. Son défaut serait plus problématique que celui d’Evergrande.
Les exportations et les importations ont chuté en juillet sur un an renforçant les craintes sur la croissance chinoise alors que les autorités tardent à intervenir.
Une Commission d’enquête parlementaire accuse BlackRock et MSCI d’avoir financé des entreprises chinoises figurant sur la liste noire des États-Unis, en raison de leur soutien financier à l’armée.
L'objectif de croissance du PIB de 5 % que Pékin a fixé pour 2023 sera difficile à atteindre sans mesures de relance, mais rien n'a été annoncé. L'analyse d'Alicia Garcia Herrero, chef économiste Asie-Pacifique de Natixis.
Pékin a opté, depuis deux décennies, pour une ouverture lente et maîtrisée du secteur de la gestion d’actifs en Chine. Mais les sociétés de gestion étrangères peinent à être reconnues par les investisseurs.
Alors qu'Emmanuel Macron tente de renouer le dialogue avec Pékin, Chu Gang, directeur des opérations de China International Capital Corporation Limited (CICC), estime, dans une tribune, que les entreprises chinoises et françaises ont tout à gagner à développer des partenariats.