Pour cette neuvième édition, le salon parisien de l’innovation technologique a rassemblé start-up, grands groupes, investisseurs et acteurs publics, et mis à l’honneur Nvidia et l’IA.
Fondée il y a seulement cinq ans, la fintech est parvenue à attirer de grands comptes et à installer le paiement par virement dans divers cas d’usage. Une croissance rapide qui devrait encore s’accélérer.
A l’ouverture de la neuvième édition du salon Viva Tech dédié à l’innovation technologique, à Paris, le PDG, Jensen Huang, a présenté les dernières avancées de Nvidia et annoncé des partenariats pour soutenir les ambitions européennes dans l’IA.
Sonia Rogez, avocate chez Herbert Smith Freehills Kramer, et Yoann Briant, secrétaire général et directeur de la conformité et des risques de Coinhouse, analysent les différences réglementaires sur les cryptoactifs des deux côtés de l'Atlantique.
Son modèle de financement des distributeurs automobiles permettant le paiement à l’usage a séduit les constructeurs chinois. Le partenariat capitalistique et industriel permettra à Knave de se développer en France et en Chine.
Le nouveau président de la Securities and Exchange Commission a plaidé en faveur des cryptoactifs. La réglementation américaine ne devrait pas tarder à s'y adapter. L'Europe voudrait avancer plus vite, mais cherche encore sa voie.
La filiale de la Société Générale spécialisée sur les cryptomonnaies proposera début juillet l’USD CoinVertible sur les blockchains Ethereum et Solana.
La banque a développé sa propre plateforme de données et des outils de modélisation qui lui permettent de réaliser des prévisions précises, pertinentes et personnalisées pour ses clients.
Fini le temps des expérimentations plus ou moins maîtrisées, la banque met à la disposition de ses équipes métiers un outil mutualisé pour s’approprier l’IA générative dans un cadre sécurisé.
Faysal Oudmine, co-fondateur de Fintecture estime que les discours incantatoires doivent laisser place à une véritable stratégie industrielle pour créer un marché européen des paiements.
Au-delà de quelques applications dans le monde réel, ces jetons numériques adossés à des actifs tangibles jouent un rôle clé dans l’écosystème crypto qui pourrait finir par investir la finance traditionnelle.
La fintech dédiée aux experts-comptables compte étoffer son offre en intégrant les comptes de paiement et en utilisant l’intelligence artificielle pour améliorer les prévisions de trésorerie.
En reproduisant les mêmes erreurs que par le passé, en cherchant à corseter à l’excès l’innovation, la France court le risque de manquer la nouvelle révolution des cryptoactifs, avertit Hervé Sitruk, président fondateur de France Payments Forum.
Positionnée comme un agrégateur de modes de paiement, incluant le BNPL, cette nouvelle offre vise à simplifier les achats des personnes multibancarisées.
Le concept d’un «unified ledger» ou «shared ledger» réunissant sur une seule plateforme d’échange tous les acteurs de la finance européenne s’est imposé comme la solution à la fragmentation des marchés.
Pour sa quatrième édition, l’enquête de Truffle Capital sur les fintechs montre un secteur en phase de consolidation avec plusieurs acteurs prêts à s’imposer en Europe.
A l’occasion de la plénière de clôture d’Universwifnet le 27 mai dernier, au Palais Brongniart, les trésoriers ont fait le point sur les avancées en matière de paiement.
Assurer la résilience et la souveraineté de ses infrastructures de paiement est devenue la priorité des institutions européennes, inquiètes face aux tensions géopolitiques mondiales.
Les portefeuilles électroniques mènent une course pour s’imposer sur leur marché d’origine et se préparent à des alliances pour élargir leur couverture plus rapidement.
Principaux financeurs des systèmes de paiement, les commerçants s’élèvent contre les tarifs croissants qui leur sont imposés sans discussion. Ils appellent la Commission européenne à rééquilibrer le jeu.
Gratuit depuis le 9 janvier 2025, le SCT Inst s’installe peu à peu dans le paysage européen des paiements et devrait bénéficier du soutien des commerçants et des entreprises.
Une étude montre que l’utilisation de plus en plus répandue des données biométriques suscite des doutes sur la protection de ces informations et provoque même le rejet d’un nombre significatif de personnes.
Le créateur d’un des principaux stablecoins a déposé son document d’introduction auprès du gendarme américain des marchés. Il compte lever environ 240 millions de dollars et des actionnaires céderont pour 360 millions de dollars.
Favoriser la croissance et la conformité des fintechs, ce n’est pas antithétique. L’Autorité s’est dite prête à poursuivre ses efforts pour alléger le poids de la réglementation.
Le dispositif d’authentification en ligne facile et sécurisé arrive bientôt. Ce projet interbancaire franco-français cherche à séduire un maximum d’enseignes pour concurrencer ses équivalents proposés par les Big Techs.
Lancée il y a dix ans, la néobanque britannique a annoncé lors de l'événement Choose France miser sur le pays pour concrétiser son ambition de devenir le premier groupe bancaire en Europe. Voire au-delà.
La néo-banque veut recruter plus de 200 personnes dans l’Hexagone et demander un agrément bancaire pour constituer son deuxième siège européen à côté de celui historique en Lituanie.
De passage à Paris, Piero Cipollone a délivré un discours encourageant un partenariat public privé afin de réussir le lancement de l’euro numérique dès le cadre légal adopté.
Leurs offres complémentaires et leurs valeurs communes ont rapproché les deux fintechs, qui entendent construire ensemble un nouveau modèle de banque européenne responsable.