
Comment banques privées et family offices peuvent faire la différence ?

Comment (re)prendre le vent en 2020 ? Et quel cap choisir pour faire partie des gagnants en gestion privée dans 5 ans ? La crise économique et, avant elle, les évolutions réglementaires, la nécessaire digitalisation, l’apparition de nouveaux concurrents, les exigences renforcées de la clientèle et ses nouveaux usages, les taux bas pénalisant les investissements les plus sécurisés, tous ces éléments ont installé une météo défavorable à laquelle beaucoup n’étaient pas habitués.
Certains ont subi un tel grain qu’ils se sont retrouvés déboussolés... à tel point que les stratégies pour retrouver le bon cap, puis maintenir l’allure, ont parfois été difficiles à trouver.
, Les plus audacieux ont, depuis, réussi à s’emparer des technologies innovantes pour proposer de nouveaux services, particulièrement appréciés en période de crise sanitaire, tandis que ceux qui avait fait depuis longtemps de la transparence une valeur d’entreprise ont su tirer leur épingle du jeu.
Un mot d’ordre pour tous : rester agile… et plus que jamais ! La crise que nous traverserons est un nouveau stress test.
, Un risque : dériver vers la vente uniquement et ne plus prendre le temps de valoriser leur principal atout, le conseil personnalisé. Les banques privées et les family offices notamment ont l’avantage d’être polyvalents, compétents pour répondre aux différents besoins en ingénierie patrimoniale, en investissement, ou encore en fiscalité.
L’AGEFI vous propose d’éclairer ces différents enjeux à l’occasion du Forum de la Gestion privée, qui aura lieu cette année en format virtuel, durant la semaine du 14 septembre. Compte tenu du contexte, nous vous proposerons en effet 4 web-conférences les lundi, mardi, mercredi et jeudi à 11h00, et donnerons ainsi la parole aux meilleurs experts de la gestion privée.
Un tchat sera mis en place à chaque web-conférence permettra de relayer vos réactions et vos questions, favorisant ainsi un maximum d’interactivité avec toute la communauté des banquiers privés et family officers.
Retrouvez toutes nos thématiques dans notre agenda ci-dessous et inscrivez-vous sur la web conférence de votre choix !
Du 14 au 17 septembre 2020
11h00 Lundi 14 septembre : Allocation d’actifs post Covid-19
Allocation d’actifs post Covid-19 : comment faire face à l’environnement actuel et aux nouveaux risques ?
Les établissements financiers ont-ils été amenés à modifier leurs profils types et leurs allocations ?
, Quels arbitrages sont à prévoir en 2020 pour prendre en compte la liquidité et la volatilité des actifs ?
, Quelle place donner à la gestion passive et aux produits structurés ?
Animée par : Alexandre GARABEDIAN, Directeur de la rédaction - L’AGEFI
ntervenants :
, Alessandra GAUDIO, Directrice des solutions patrimoniales - GENERALI
, Matthew MORGAN, Multi asset product specialist - JUPITER AM
, Olivier RAINGEARD, Directreur des investissements - NEUFLIZE OBC
, Tony DU PREZ, Directeur des investissements - LCL BANQUE PRIVEE
, Florent DELORME, Macro stratégiste - M&G INVESTMENTS
11h00 Mardi 15 septembre : Diversification
Quelles « nouvelles » classes d’actifs sont adoptées par la gestion privée ?
Quelle est la place des actifs non cotés ou private assets (private equity, dette non cotée et infrastructures) dans les portefeuilles des clients privés ?
, Sont-ils privilégiés par les clients suite à la crise sanitaire et à la forte volatilité sur les marchés financiers ?
, Le capital-investissement séduit-il plus de clients depuis la loi Pacte ?
Animée par : Jean-François TARDIVEAU, Rédacteur en chef AGEFI ACTIFS - L’AGEFI
, Intervenants :
, Ugo CEZAR, Responsable commercial clientèle intermédiée – SCHRODERS
, Xavier de CHAMPSAVIN, Directeur général adjoint - PICTET WEALTH MANAGEMENT
, Alexandre DENIS, Directeur structured solutions & alternative assets - NATIXIS WEALTH MANAGEMENT
, Olivier DUBS, Gérant senior - JP MORGAN BANQUE PRIVEE
, Maxime LECORPS, Directeur de l’ingénierie financière - CRÉDIT DU NORD
11h00 Mercredi 16 septembre : ESG
Quels types de fonds ISR privilégier pour attirer une clientèle encore peu familiarisée avec les enjeux extra-financiers ?
Comment évaluer la sensibilité de ses clients pour certains grands enjeux sociétaux ?
, Les fonds de partage peuvent-ils s’intégrer dans une démarche d’investisseur responsable ?
, La crise sanitaire plaide-t-elle en faveur de la prise en compte de certains critères ? De certaines thématiques ?
, Comment appréhender le niveau d’aversion aux risques extra-financiers de son client
Animée par : Laurence MARCHAL, Rédactrice spécialisée - L’AGEFI
, Intervenants :
, Daniel PERROUD, Responsable mondial du développement - BLUE ORCHARD
, Jérôme GRENIÉ, Directeur adjoint, direction de la gestion sous mandat - BANQUE PRIVÉE BPE
, Maxime VERMESSE, Directeur de La gestion privée - MEESCHAERT GESTION PRIVÉE
, Guillaume PIETRUSCHI, Responsable de l’offre financière - BNP PARIBAS BANQUE PRIVEE
11h00 Jeudi 17 septembre : Fiscalité / PER
Quels sont les dispositifs fiscaux les plus intéressants et les plus demandés aujourd’hui ?
A quelles évolutions doit-on s’attendre en raison de la crise économique ?
, Le PER est-il un nouvel outil de défiscalisation ? A-t-il sa place en gestion privée ?
, Les conseillers financiers disposent-ils d’une offre suffisante pour s’adapter aux évolutions fiscales et optimiser l’ingénierie patrimoniale ?
Animée par : Jean-François TARDIVEAU, Rédacteur en chef AGEFI ACTIFS - L’AGEFI
, Intervenants :
, Pascal LAVIELLE, Responsable de l’ingénierie patrimoniale - BNP PARIBAS CARDIF
, Sophie BREUIL, Associée fondatrice - HAPYFEW
, Ségolène ROQUES, Ingénieur patrimonial - ODDO BHF BANQUE PRIVEE
Plus d'articles du même thème
-
L’expert-comptable se veut fidèle compagnon de la réforme de la facturation électronique
Le Conseil national de l'Ordre de la profession vient de publier un guide « Bien choisir sa plateforme agréée » afin de donner les clés d'un choix éclairé sur le sujet. -
La BCE maintient ses taux par souci d’équilibre
Au-delà de cette nouvelle attendue, la question du Conseil des gouverneurs était de savoir si la BCE a terminé son cycle d’assouplissement ou si elle prolonge seulement la pause initiée en juillet avec l’atteinte du taux neutre théorique. Les projections économiques présentées jeudi font plutôt pencher pour la deuxième option. -
Le secteur européen de la construction peine à rebondir
L’activité a touché un point bas il y a un an tandis que les enquêtes de confiance se redressent, mais la reprise reste faible et les perspectives moroses, malgré l’espoir placé dans le plan de relance allemand.
Sujets d'actualité

ETF à la Une

BNP Paribas AM se dote d’une gamme complète d’ETF actifs
- Tracfin a encore intensifié ses signalements en 2024
- Sébastien Lecornu commence son chemin de croix budgétaire avec Fitch Ratings
- L’exonération du régime mère-fille dépasse le seul cadre de l’impôt sur les sociétés
- L’Union européenne cherche la clé d’une épargne retraite commune
- Eric Rosenthal quitte le groupe Apicil pour AG2R La Mondiale
Contenu de nos partenaires
-
Wall Street clôture à des sommets, renforcée par l’espoir d’une baisse des taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a touché des sommets en clôture jeudi, alors que des nouveaux indicateurs économiques sont venus conforter les attentes des investisseurs quant à un assouplissement monétaire de la Fed. Les trois indices vedettes de Wall Street ont terminé sur de nouveaux records: le Dow Jones a gagné 1,36% à 46.108,00 points, l’indice Nasdaq a progressé de 0,72% à 22.043,07 points et l’indice élargi S&P 500 a avancé de 0,85% à 6.587,47 points. «Le marché pousse un soupir de soulagement», commente auprès de l’AFP Adam Sarhan, de 50 Park Investments. En cause: «les données économiques sur l’emploi (...) renforcent les probabilités d’une baisse des taux d’intérêt d’ici la fin de l’année et au-delà», résume Jose Torres, d’Interactive Brokers. Les investisseurs ont porté leur attention sur les demandes hebdomadaires d’allocations chômage, qui sont ressorties au plus haut depuis 2021. Ces dernières ont accéléré à 263.000, alors que les analystes s’attendaient à une stabilisation. L’indice des prix à la consommation d’août est, lui, ressorti en hausse de +0,4% sur un mois, après +0,2% en juillet, selon le ministère américain du Travail, soit légèrement au-dessus des attentes du marché. Sur un an, l’inflation a aussi accéléré à +2,9%, contre +2,7% un mois plus tôt, un chiffre cette fois en ligne avec les prévisions des analystes. La grande majorité des acteurs du marché estiment toutefois que la banque centrale américaine (Fed) baissera ses taux d’un quart de point lors de sa prochaine réunion prévue les 16 et 17 septembre. Non pas parce que l’inflation semble en passe d'être maîtrisée, mais parce que le marché du travail paraît fragile, un point d’attention qui fait aussi partie du mandat de l’institution. Les investisseurs s’attendent également à des baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, qui ramèneront les taux dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%. «Si la Fed baisse ses taux, le coût des activités commerciales diminue», ce qui «stimule à la fois l'économie réelle et Wall Street», souligne M. Sarhan, d’où l’enthousiasme de la place new-yorkaise. «Cependant, la Fed va agir (...) en évaluant les risques et les avantages» tout au long du processus, ajoute l’analyste. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à échéance 10 ans se détendait par rapport à la clôture mercredi, à 4,02% vers 20H15 GMT contre 4,05%. Au tableau des valeurs, le groupe de médias Warner Bros Discovery a été propulsé (+28,95% à 16,17 dollars) après des informations de presse assurant que son concurrent Paramount Skydance pourrait le racheter, et former ainsi un mastodonte du divertissement. Selon le Wall Street Journal, Paramount Skydance (Nickelodeon, MTV, Paramount) serait prêt à s’emparer de la majorité des actions du conglomérat rassemblant entre autres le studio de cinéma Warner Bros et les chaînes de télévision HBO et CNN. L’action Paramount Skydance s’est envolée de 15,55% à 17,46 dollars. Le spécialiste suédois du paiement fractionné Klarna (-6,15% à 43,00 dollars) a été boudé pour son deuxième jour de cotation à Wall Street. Son introduction en Bourse, très attendue, lui a permis de lever plus d’un milliard de dollars. Le géant technologique Oracle a perdu du terrain (-6,25% à 307,82 dollars) après son envolée de la veille, provoquée par des prévisions colossales pour ses centres de données. Nasdaq © Agence France-Presse -
Wall Street bat des records, portée par l’espoir d’un assouplissement des taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a touché des sommets en clôture jeudi, alors que des nouveaux indicateurs économiques sont venus conforter les attentes des investisseurs quant à un assouplissement monétaire de la Fed. Les trois indices vedettes de Wall Street ont terminé sur de nouveaux records: le Dow Jones a gagné 1,36% à 46.108,00 points, l’indice Nasdaq a progressé de 0,72% à 22.043,07 points et l’indice élargi S&P 500 a avancé de 0,85% à 6.587,47 points. Nasdaq © Agence France-Presse -
Cuba : fin du black-out, l’électricité est revenue après la cinquième panne en un an
La Havane - Le courant a été rétabli à Cuba, a annoncé jeudi le ministère de l’Energie et des mines, au lendemain d’une coupure générale, la cinquième en moins d’un an. «Le réseau électrique national est désormais rétabli», a fait savoir le ministère sur le réseau social X. En début de matinée, la compagnie nationale d'électricité avait annoncé que le courant était à nouveau disponible dans 11 provinces sur 15. Dans la capitale, la circulation et les activités ont repris quasiment normalement, a constaté l’AFP. «Le courant est revenu à 3h30 (7h30 GMT) du matin. Nous nous en sommes aperçus parce que nous avions laissé toutes les lumières allumées pour le savoir», a raconté à l’AFP Maria Beltran, 58 ans, qui vit dans un quartier populaire de l’ouest de La Havane. «Hier, ce n’a pas été facile. Nous sommes restés chez nous (...) assis dans un fauteuil toute la journée», a-t-elle ajouté, alors que ces coupures générales paralysent la vie économique de l'île et chamboulent la vie quotidienne des habitants. Mercredi matin, un arrêt de la centrale électrique Antonio Guiteras, la plus importante du pays, située au centre de l'île, a provoqué la déconnexion du système électrique sur l’ensemble du pays. Les autorités ont précisé par la suite que la coupure était due à un signal erroné de surchauffe dans la chaudière de la centrale. Depuis octobre 2024, l'île communiste a ainsi subi cinq pannes généralisées, dont certaines ont duré plusieurs jours. Cette dernière coupure a duré un peu plus de 24 heures. Cuba est en proie depuis cinq ans à une profonde crise économique, avec un manque cruel de devises, et le système électrique vétuste souffre d’avaries fréquentes et de pénuries de combustible. Les huit centrales électriques du pays ont presque toutes été inaugurées dans les années 1980 et 1990. Elles tombent régulièrement en panne ou doivent être arrêtées pour de longues semaines de maintenance. L’installation récente de trente parcs photovoltaïques, soutenue par la Chine, sur les 52 prévus pour cette année, n’a pas permis pour l’heure de faire diminuer les coupures. Pendant les fortes chaleurs l'été, lorsque la consommation atteint des pics à cause de l’utilisation de la climatisation, les délestages se sont multipliés. Selon les autorités, ces coupures programmées ont duré en moyenne près de quinze heures par jour en août et seize heures en juillet, dans tout le pays. Cuba traverse sa pire crise économique depuis trois décennies. Aux faiblesses structurelles de son économie planifiée et centralisée s’ajoutent l'échec d’une réforme monétaire récente et un renforcement de l’embargo américain, en vigueur depuis 1962. © Agence France-Presse