L'engouement pour les fonds indiciels cotés ne se dément pas. Dans quelques cas très précis, ce type d'investissements peut toutefois se révéler risqué au vu de la segmentation de plus en plus étroite de certains produits.
Après le S&P 500, les investisseurs tendent à se tourner vers le MSCI World, un indice dominé par les Etats-Unis. Les sous-jacents européens, et notamment la dette française, sont, quant à eux, plus que jamais à la peine.
Les flux vers les produits cotés européens répliquant les performances des actifs digitaux ont frôlé 300 millions d’euros la semaine dernière, un record depuis le début d’année. Mais, une fois n'est pas coutume, ce ne sont pas ceux sur le bitcoin qui ont dopé cette collecte.
Le gérant américain divise le thème en deux ETF, l’un ciblant les infrastructures nécessaires à l’intelligence artificielle et l’autre, l’adoption de la technologie. Il y ajoute un fonds actif de conviction.
Il s'agit de la première incursion du gestionnaire français dans le champ des fonds cotés qui ne répliquent pas passivement un indice. En parallèle, BNP Paribas AM a également fait labelliser une partie de sa gamme d’ETF actifs.
Le Français cote également mercredi un ETF qui cible toutes les autres valeurs en dehors de ces méga caps pour permettre aux investisseurs de piloter plus finement leur allocation.
Dans le cadre des ETF Awards 2024 remis le 21 novembre par L’Agefi en partenariat avec Trackinsight, responsable de la méthodologie, une diversité d’acteurs sont montés sur le podium. Parmi eux, Amundi ETF, DWS et Invesco ont été récompensés à plusieurs reprises. Voici le palmarès complet.
Le responsable mondial de l’activité ETF chez BNY décrypte les spécificités du métier de banque dépositaire dans le cas des fonds cotés en Bourse. Et ses transformations en cours.
Pour capter des parts de marché dans une industrie des fonds indiciels cotés en plein boom, les sociétés de gestion chinoises ont dévoilé de nouvelles baisses de tarifs.