La banque centrale américaine a gardé son taux directeur dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,5%. Les gouverneurs anticipent toujours au moins deux baisses d'ici à la fin de l'année.
Le groupe dirigé par Tim Cooke peine à rassurer sur sa capacité à rester dans la course à l’intelligence artificielle. Mais si les analystes expriment leur déception, leurs recommandations n’en pâtissent pas. L’action Apple non plus.
Le comportement du consommateur américain interroge et les analystes s’inquiètent de la trajectoire des résultats. L'action du groupe de restauration rapide en fait les frais.
La volatilité induite par la guerre commerciale n’entame pas l’engouement pour les ETF, qui devraient attirer des montants records pour la deuxième année consécutive sur leur plus grand marché, les Etats-Unis.
Le chiffre d'affaire de la société a bondi de près de 70% au premier trimestre malgré les restrictions mises en place par Donald Trump sur les exportations de certaines puces à destination de la Chine.
Le géant de l'intelligence artificielle publiera ses comptes trimestriels le 28 mai dans la soirée. Le groupe est notamment attendu sur sa capacité à garder un accès au marché chinois après les interdictions de ventes décidées par l'administration Trump.
La banque centrale américaine a conservé ses taux entre 4,25% et 4,5%, dans l'attente d'avoir une meilleure vision de l'impact des droits de douane sur l'inflation.