Jean-Loup est journaliste financier depuis près de dix ans. Il a commencé par couvrir la gestion d’actifs pour le média en ligne Distrib Invest, puis le secteur bancaire pour La Correspondance économique, avant de retrouver la gestion d’actifs à L’Agefi en 2019. Il est titulaire de la certification Chartered Financial Analyst (CFA). Il est toujours partant pour une partie d’échecs.
Au surlendemain de la présentation d’un budget 2026 promettant 44 milliards d’euros d’économies et de hausses d'impôt, mais aussi une potentielle censure à l’automne, les investisseurs n’ont pas surréagi dans un sens ni dans l’autre.
Depuis l’Accord de Paris, les investisseurs exigent des primes de rendement légèrement plus élevées pour les pays dont les émissions de CO₂ progressent, constate la Banque des règlements internationaux.
La métropole japonaise espère placer le premier papier ayant obtenu le futur certificat de la Climate Bond Initiative en matière d’adaptation et de résilience climatique.
Les soubresauts géopolitiques masquent provisoirement un excès d’offre d'or noir qui pourrait ramener le prix du baril sous les 50 dollars dans quelques trimestres.
Malgré les frappes iraniennes contre une base américaine au Qatar, les prix du baril ont chuté lundi soir. Seule la fermeture du détroit d'Ormuz créerait un choc susceptible de peser durablement sur la croissance économique mondiale. Ce n'est pas le pari des investisseurs.
A chaque épisode de tensions au Moyen-Orient, la zone attire l'attention. Le cycle guerrier inauguré par les frappes aériennes d'Israël et des Etats-Unis sur l'Iran n'y déroge pas. Un cinquième de la demande mondiale en hydrocarbures transite par ce passage stratégique.