Nos articles d’actualité et d’analyse sur les grands évènements et décisions politiques susceptibles d’influer les marchés financiers et les principales économies (élections, guerre, remaniements, réformes etc.)
Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé la dissolution de l’Assemblée nationale après la large victoire du RN aux élections européennes, avec un scrutin le 30 juin et le 7 juillet. Les marchés financiers, qui n’aiment pas l’incertitude, ne vont pas manquer de réagir.
Contrairement à la BCE, qui vient d'annoncer une baisse de ses taux directeurs, la banque centrale américaine devrait maintenir les siens inchangés mercredi.
Promis à une victoire écrasante par les sondages, le camp du Premier ministre Narendra Modi enregistre des résultats moins bons que prévu selon les premiers décomptes.
La représentante de la coalition Morena, de l’actuel président Andres Manuel Lopez Obrador, a gagné largement l’élection et pourrait bénéficier d’une majorité des deux tiers lui permettant de passer des réformes constitutionnelles.
Alors que Donald Trump vient d'être condamné au pénal à quelques mois des élections américaines, Christophe Boucher, directeur des investissements et Benoît Begoc, stratégiste quantitatif chez ABN Amro IS, font un état des lieux des forces en présence.
La perte de la majorité absolue par l’ANC n’est pas une surprise mais son résultat l’oblige à s’allier à l’un des grands partis d’opposition. Une incertitude qui n’est pas du goût des investisseurs.
Le parti travailliste est largement favori pour les élections anticipées du 4 juillet. Quel qu’il soit, le vainqueur sera confronté au double défi d'une relance de la croissance sans marge budgétaire. L’impact sur les marchés sera limité.
Le pétrolier refléchit à déménager sa principale place de cotation de la France vers les Etats-Unis. Une manière pour son PDG de faire passer un message aux investisseurs européens.
Notation ESG, Solvabilité 2, antiblanchiment… Un nombre record de réformes sera soumis au vote des eurodéputés de mardi à jeudi, lors de la dernière session du Parlement européen avant les élections de juin.
La Chambre des représentants a voté massivement trois trains de mesures, soutenus pour la première fois par son «speaker» républicain, Mike Johnson, contre l’opposition à l’aide la plus conservatrice.
L'Italie, qui voit ses prévisions de déficit et de dette déraper, connaîtra le 19 avril le verdict de l'agence S&P sur sa note. La fin des achats d’actifs de la Banque centrale européenne (BCE) et l’appétit pour le risque ont toutefois ramené les investisseurs vers les obligations italiennes.
Les électeurs turcs retournent aux urnes ce weekend pour les municipales. La forte hausse des taux de la TCMB la semaine passée face au dérapage de l’inflation renforce sa crédibilité.
Le vote de samedi au Sénat a permis d’éviter la paralysie des services publics («shutdown») qui s'exposaient à ne plus être financés. Le pays est à nouveau «tranquille» jusqu’au 30 septembre.
La volatilité implicite est la meilleure façon de couvrir des portefeuilles lors d’événements géopolitiques, celle sur les matières premières étant la plus efficiente.
La Chambre des représentants a voté six lois budgétaires sur les douze nécessaires. Le Sénat devrait suivre pour éviter une fermeture administrative («shutdown»). Reste à voter sur les six autres avant le 22 mars.
Les dirigeants républicains et démocrates ont conclu un accord provisoire pour éviter une fermeture de certaines administrations le 2 mars. Mais pas encore sur six autres administrations, financées seulement jusqu’au 22 mars.