Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Les investisseurs craignent un retour du rendement des Treasuries à 10 ans américains sur le niveau de 5%, ce qui pourrait accentuer la correction à Wall Street et entraîner l’ensemble des places boursières.
L’exceptionnalisme américain continue de guider les marchés, et la politique économique de Donald Trump aimante toute l’attention. Certains investisseurs gardent espoir sur l’Europe, voire sur la Chine.
Unibail-Rodamco-Westfield et Mercialys obtiennent le soutien de Jefferies et grimpent en Bourse. Le courtier anticipe globalement une surperformance boursière des foncières commerciales et spécialistes de l'immobilier résidentiel en 2025.
Des informations de presse ont fait état d'une volonté du nouveau président américain de restreindre les augmentations de taxes douanières. Malgré le démenti de Donald Trump, les marchés actions progressent.
Depuis deux ans, LVMH, Kering, Burberry et consorts n'ont plus vraiment la cote auprès des investisseurs. La faute à une croissance 2024 en berne et à des perspectives qui ne s'annoncent pas beaucoup plus réjouissantes cette année.
Les actifs risqués tels que les actions, le crédit, le dollar, l’or et le bitcoin ont clôturé l'année en vedette. Les marchés de taux ont souffert de la forte volatilité.
Nvidia, symbole de l’effervescence des sociétés liées au phénomène IA, a terminé l’année 2024 proche de son sommet, avec 3.290 milliards de dollars de valorisation, en deuxième position derrière Apple. Derrière lui, les investisseurs parient sur les géants technologiques, mais aussi sur une poignée d’éditeurs de logiciels, comme MongoDB, Pegasystems et Snowflake, qui pourraient enflammer la Bourse américaine cette année.
Emeis, l'ex-Orpea, figure parmi les cinq plus fortes baisses de l'indice parisien pour la troisième année de suite. Le bonnet d'âne revient toutefois à Atos en 2024 alors que le groupe informatique a, lui aussi, fait l'objet d'une lourde restructuration financière. Forvia et Remy Cointreau sont pour leur part pénalisés par les difficultés de leurs secteurs respectifs.
La ruée vers les actions américaines a été amplifiée par la victoire de Donald Trump. Certains pensent néanmoins que les valeurs européennes, plus faiblement valorisées, ont leur rôle à jouer en 2025 en cas d’évolution politique.
Les actions pakistanaises ont bondi de près de 90% cette année, loin devant Istanbul et Budapest. Mais la véritable vedette reste Wall Street. Mexico et Sao Paulo affichent les plus fortes baisses. En Europe, le CAC 40 emporte le bonnet d’âne.
Dans un marché parisien morose, les cinq actions affichant les meilleurs parcours boursiers cette année appartiennent à des secteurs divers. De la biotech avec Medincell, aux carburants avec Esso en passant par la tech et le transport, sans oublier les maisons de retraite avec Clariane.
Les valeurs technologiques américaines ont dominé la performance de la Bourse de New York. Le bon parcours des financières sauve le millésime 2024 en Europe, malgré la chute du secteur automobile.
Entre espoir et déception, ces valeurs sous-performent encore les grandes capitalisations, même aux Etats-Unis. Un rebond est toujours attendu mais à condition que le sentiment des investisseurs soit moins négatif.
La forte participation des investisseurs retail aux Etats-Unis explique en partie la progression de Wall Street jusqu’à des extrêmes. Leur positionnement très tech, qui alimente la bulle, leur permet de surperformer le marché.
Les places asiatiques hors Japon ont terminé en hausse. La Reserve Bank of Australia (RBA) n’a toujours pas baissé son taux directeur, et les prix de l’énergie ont évolué en hausse, grâce aux bonnes nouvelles venues des Etats-Unis pour le pétrole, à cause du froid et du risque d’approvisionnement pour le gaz naturel européen.
Pas moins de 671 milliards d’euros ont été levés dans le monde en 2024, un volume en hausse de 26% sur un an, tiré par les Etats-Unis. Si l’Europe est dans le ton, elle manque toutefois de réelle dynamique. La France reste décrochée.
Le nouveau médicament anti-obésité du laboratoire danois, Cagrisema, entraîne une perte de poids sensiblement moins forte que ne l’espéraient les analystes. L’action Novo Nordisk s’effondre.