L’institut statistique a revu en baisse sa prévision de croissance pour le premier trimestre à 0,1% en raison de la politique douanière américaine et de la crise budgétaire française.
Le prince héritier Mohammed Ben Salman met en place son plan de transformation du pays à la fois sociale, sociétale et économique. Un projet qui passe aussi par le «soft power» et la diplomatie.
L’organisation a revu en baisse ses prévisions économiques pour 2025 et 2026. Une guerre commerciale généralisée pourrait coûter 1.600 dollars par an à chaque ménage américain.
L’incertitude à propos des effets sur l’inflation et la croissance des politiques de l’administration Trump est trop forte. La banque centrale présidée par Jerome Powell n’a pas vraiment de raison de baisser ses taux. Elle devrait en revanche annoncer un ralentissement prochain dans la réduction de son bilan.
Le métal jaune a progressé de près de 15% depuis le début de l’année soutenu par les conséquences d’une guerre commerciale mais aussi par les achats des banques centrales.
L’économiste responsable des pays émergents et de la géopolitique à la direction des études économiques de Crédit Agricole SA nous donne ses clés pour essayer de comprendre la situation géopolitique mondiale.
La hausse des prix aux Etats-Unis s'est modérée plus qu'attendu en février sous l’effet notamment d’une baisse des tarifs de l’essence et des billets d’avions.
Les chiffres du rapport mensuel sur le marché du travail ressortent plutôt bons au premier regard. Le détail confirme cependant une dynamique assez faible : l’économie américaine ne s’effondre pas mais ralentit clairement.
L’impression générale est celle d’une banque centrale devenue jeudi plus prudente, trop pour les analystes accommodants. Les marchés croient encore en deux baisses de taux, dont une en avril.
Les partis du futur gouvernement veulent investir plusieurs centaines de milliards d’euros dans la défense et les infrastructures. Le rendement de l’obligation allemande à 10 ans s’est envolé de 30 points de base avec cette annonce au-dessus des attentes. Peut-être un peu vite cependant.
Le directeur général délégué de BNP Paribas Real Estate Conseil Habitation et Hospitality décrypte pour L’Agefi les raisons du récent succès de ce segment de l’immobilier commercial.
La remise en cause de la politique commerciale et militaire des Etats-Unis est inextricablement liée à celle du dollar comme monnaie de réserve. Un risque majeur pour les marchés financiers. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
La correction des valeurs est d'abord visible sur les marchés américains. Donald Trump avait pourtant été très clair sur ses intentions et son calendrier. L'économie outre-Atlantique pourrait en pâtir sérieusement.
Alors que les signes de reprise se multiplient en Europe, que le dollar est aussi fort que dans les années 80, les marges de la BCE pour continuer de baisser les taux cette année semblent assez maigres, estime Sylvain Broyer, chef économiste EMEA, S&P Global Ratings.
Outre une sixième diminution du taux de dépôt jusqu’à 2,50%, attendue ce jeudi 6 mars, les discussions entre gouverneurs s’annoncent animées. Les faucons souhaitent rester prudents face à une inflation des services encore élevée.
Les prêts aux entreprises ont redémarré, mais à un rythme inférieur en janvier qu’en décembre. En revanche, les prêts aux ménages poursuivent leur progression régulière. Le rythme serait quand même cohérent avec une croissance plus forte qu’attendu.
Elle a progressé moins vite qu’en 2023 mais s’élève désormais à 318.000 milliards de dollars. Le ratio dette sur PIB a augmenté pour la première fois depuis 2020. La dette mondiale devrait continuer à augmenter en 2025, notamment la dette publique.