Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'économie chinoise, son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières.
De nombreux économistes doutent régulièrement des chiffres du PIB chinois. L’analyse de la consommation d’énergie comme possible référence aurait pourtant plutôt tendance à confirmer les chiffres de la production.
Après une dynamique positive en 2024, les économies émergentes ont encore des raisons d’être optimistes quant à leur croissance en 2025, selon des économistes. Sous réserve d’effets sévères liés aux mesures américaines.
Le chef économiste de Goldman Sachs était de passage à Paris mi-janvier. Il explique à L'Agefi sa vision de l'économie américaine et européenne pour les mois à venir. Les décisions de l'administration Trump pourraient avoir de réelles conséquences outre-Atlantique sur l'inflation et la croissance, mais en Europe, le principal problème est ailleurs.
Le constructeur chinois augmente progressivement la capacité de production de son monocouloir C919. Il table sur une certification européenne dès cette année.
Sur les quatre promesses politiques du candidat, la mesure la plus rapide devrait porter sur les tarifs douaniers. Mais rien n’assure qu’elle soit aussi forte qu’annoncée. Ni aussi inflationniste.
Le pays a bénéficié d'un net rebond économique en fin d'année dernière mais la perspective d'une hausse des droits de douane américains incite à la prudence pour 2025.
L’Agefi propose une synthèse des perspectives macroéconomiques présentées par les principales banques d’investissement. La croissance américaine fait moins débat que les éventuelles baisses de taux de la Fed, conditionnées par les prochaines mesures de l’administration Trump. Malgré l’incertitude encore élevée, les prévisionnistes convergent pour estimer que les mesures américaines seront moins fortes que redouté.
Les deux groupes accusent le coup en Bourse. L'armateur COSCO et deux filiales du pétrolier CNOOC sont également concernés par cette liste comptant 134 entreprises.
Le plongeon des taux longs chinois incite aux comparaisons avec le Japon des années 90. Mais la Chine n'occupe pas la même place dans les chaînes de valeur, et ses marchés de capitaux sont peu ouverts sur le monde. Ses soucis sont en réalité d’une autre nature.
Le PMI manufacturier Caixin/S&P Global recule et approche du seuil de 50 alors que les économistes s'attendaient à une amélioration. Les indices boursiers chinois ont nettement reculé lors de la première séance de l'année.
L'indice PMI composite du pays a rebondi en décembre mais la dynamique, soutenue par des mesures de relance, pourrait être temporaire alors qu'une hausse des droits de douane américains se profile.
Des acteurs du private equity prennent l'initiative d'exclure les capitaux en provenance de pays considérés comme des adversaires stratégiques des Etats-Unis, Chine en tête.
La croissance des ventes de détail a nettement décéléré en novembre, ce qui met la pression sur Pékin pour annoncer des mesures concrètes pour relancer la consommation avant un durcissement des relations commerciales avec les Etats-Unis.